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Version du 01/08/2018 août 2018 12:04:41 par Corinnelamour
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Version du 09/08/2018 août 2018 18:29:48 par Corinnelamour
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de l'hypogée découvert en 1879 n'est en rapport avec aucun sarcophage et n'a pour but que de procurer l'air et la lumière nécessaire.  
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de l'hypogée découvert en 1879 n'est en rapport avec
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aucun sarcophage et n'a pour but que de procurer l'air
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et la lumière nécessaire.  
  
(2) Le père de la Croix nous a rendu un  spécimen unique en son genre, d'une sorte de sacrement qui après avoir été commun dans la Gaule mérovingienne, a disparu de notre pays, une memoria, c'est à dire le tombeau d'un personnage de marque. Comme c'est le titre inscrit au fronton même de l'édicule et qu'il est répété d&nas une notice historique gravée sur le montant gauche de la porte, l'équivoque sur ce point n'est pas possible. Le fondateur du monument, un certain Mellebaude, qui prend le titre d'abbé, nous apprend qu'il l'a construit pour y abriter un tombeau; l'origine est donc certaine. Mellebaude avait préparé un lieu de prières en même temps qu'un lieu de sépulture suivant une pratique bien connue de l'époque mérovingienne. Un autel se dressait dans la memoria à côté du tombeau du fondateur; la présence d'un autel impliquait celle des reliques et la célébrations du culte une dédicace. (3) Aussi une inscription peinte sur mur au fond du réduit septentrional T rappelait-elle cette dédicace qu'elle fixe au 30 juillet , avec l'indication des principales fêtes célébrées dans cette chapelle funéraire.  
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(2) Le père de la Croix nous a rendu un  spécimen unique
Telle est l'impression qui résulte de l'inspection du monument, du plancher du P. de la croix et que Mr l'abbé Duchesne a parfaitement mis en lumière.  
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en son genre, d'une sorte de sacrement qui après avoir
Mais l'inscription de la dédicace est fort altérée et hormis la mention de cette cérémonie, est devenue inintelligible. Elle a de plus été recopuverte en partie par un texte plus récent également en lambeaux qui ne contribue pas à l'intelligence de l'ensemble. On peut reconnaitre toute fois un catalogue des reliques. Les lacunes sont telles qu'une restitution sérieuse est impossible et que la meilleure interprétation ne vaudrait pas le temps perdu à la chercher parce qu'elle serait absolument hypothétique. (4) C'est cependant
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été commun dans la Gaule mérovingienne, a disparu
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de notre pays, une memoria, c'est à dire le tombeau
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d'un personnage de marque. Comme c'est le
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titre inscrit au fronton même de l'édicule et qu'il
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est répété dans une notice historique gravée sur
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le montant gauche de la porte, l'équivoque
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sur ce point n'est pas possible. Le fondateur du
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monument, un certain Mellebaude, qui prend le
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titre d'abbé, nous apprend qu'il l'a construit pour
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y abriter un tombeau; l'origine est donc certaine.  
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Mellebaude avait préparé un lieu de prières en
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même temps qu'un lieu de sépulture suivant une
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pratique bien connue de l'époque mérovingienne.  
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Un autel se dressait dans la memoria
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à côté du tombeau du fondateur; la présence d'un
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autel impliquait celle des reliques et la célébration
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du culte une dédicace. (3) Aussi une inscription
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peinte sur mur au fond du réduit septentrional
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T rappelait-elle cette dédicace qu'elle fixe au
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30 juillet , avec l'indication des principales fêtes
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célébrées dans cette chapelle funéraire.  
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Telle est l'impression qui résulte de l'inspection
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du monument, du plancher du P. de la Croix et que Mr l'abbé Duchesne a parfaitement mis en lumière.  
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Mais l'inscription de la dédicace est fort
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altérée et hormis la mention de cette cérémonie,
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est devenue inintelligible. Elle a de plus été recouverte
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en partie par un texte plus récent également
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en lambeaux qui ne contribue pas à l'intelligence
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de l'ensemble. On peut reconnaitre
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toute fois un catalogue des reliques. Les lacunes
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sont telles qu'une restitution sérieuse est impossible
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et que la meilleure interprétation ne vaudrait
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pas le temps perdu à la chercher parce qu'elle
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serait absolument hypothétique. (4) C'est cependant