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Éthiopien d'Abbadie 266
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Version du 11/10/2021 octobre 2021 08:38:58 par Anaiswion

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Version du 12/04/2022 avril 2022 13:56:22 par Anaiswion
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===  Journal - Dongoro 26 Juin ===
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maison, les sellaient et les remettaient à leurs seigneurs qui mettaient leurs ceintures, laissaient
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leurs toges et mettaient parfois un mauvais <u>lⱥmd</u> de tigre, puis partaient en menant leur cheval
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en laisse car les bêtes du Goudrou se fatiguent vite et seraient bientôt atteintes par les [coursiers?]
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de gombo. Tout ceci se passait très lentement, chacun allait de son coté et je ne crois pas
 +
qu'il partit <u>plus de</u> dix cavaliers pour s'opposer aux guerriers de nounnole. ceux-ci venaient
 +
jusque sur la hauteur voisine du dⱥnnⱥba, virent cette rivière et allèrent vers l'ouest
 +
emmener un beau troupeau de vaches. Ras ouneo partit enfin et tous les marchands
 +
firent des voeux pour qu'une lance de djimma mit fin à ses exactions. on brula une
 +
10.e de grosses huttes, celles de petite dimension étant négligées et vers le soir Djimma
 +
s'étant retiré, les cavaliers <u>de G</u> revinrent et apprirent <u>aux</u> que sans recevoir une seule
 +
blessure les gens de Djimma avaient tué deux cavaliers et [7?] piétons. Ces tristes nouvelles
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furent accueillies par les lamentations des filles de Goudrou.
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==== incursion de djömma b ====
 
==== incursion de djömma b ====
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Les gens de Dimma ne brulèrent pas les maisons près du Dⱥnnⱥba parce que cette
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rivière n'a que deux gués dont un seul praticable pour un cavalier. quoiqu'elle soit
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fort étroite (3 à 4 mètres au plus) elle a ses rives ou coupées à pic ou defendues par des
 +
fondrières et si les gués sont défendus, la ligne de defense est très-forte. En conséguence
 +
les gens de Djimma, la nuit qui précédera leur incursion, demoliront les maisons
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voisines de la rivière, feront un pont et porteront ensuite leurs armes dans le coeur
 +
de Goudrou qui n'a plus de bonne ligne jusqu'à l'Abay. Le surlendemain de cette
 +
incursion toute la rive gauche du Dⱥnnⱥba fut abandonnée. seulement on y envoyait
 +
paitre les vaches.
  
  
 
==== acte atroce c ====
 
==== acte atroce c ====
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19a
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J'oubliais de dire que dans l'incursion du 13 <s>15</s> un guerrier de Djimma prit une
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jeune fille et descendit de cheval comme pour emporter un trophée. laisse donc crièrent
 +
les femmes c'est une jeune vierge — c'est bien ce que je cherchais dit le guerrier et la
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couchant par terre, l'égorgea comme une bȇte, ouvrit son ventre et enleva son
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peritoine pour l'examiner et l'attacher à son col. Il parait qu'un devin de Djömma
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avait promis de grands succès à sa tribu si elle lisait son sort dans le péritoine
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d'une jeune fille. Ceci me fut dit avant l'incursion victorieuse du 15, et les gens de
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Goudrou ne témoignaient pas d'horreur en racontant une pareille atrocité. Après
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un tel acte de férocité je croirai bien des atrocités de la part des Galla. Le même
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jour un Djömma prevint son beau-frère du Goudrou qu'il ferait bien de quitter
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la rive gauche du Dⱥnnⱥba et en disant la bonne aventure je découvris que plusieurs
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Goudrou avaient pris femme dans Djömma. La victime égorgée pouvait ainsi être
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parente de son meurtrier.
  
  
 
==== vautours d ====
 
==== vautours d ====
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Deux des mules du nⱥgad ras Getou Abba Dⱥm, moururent au Dⱥnnⱥba. L'une
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d'elles atteinte d'un rhumatisme du bassin qui l'empêchait de se lever resta trois jours
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assise comme un chien sans que personne lui donnȃt de l'eau. elle mourut prob.t de
 +
soif. De tems en tems elle se couchait et les vautours la croyant morte venaient alors
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lui donner des coups de bec. Je m'approchai d'elle et elle <s>fit le bruit</s> hennit comme s'attendant
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à recevoir sa nourriture. enfin elle mourut et son maitre la fit trainer au loin.
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En moins de 1/4 d'heure soixante vautours et aigles l'eurent entouré. Il n'y avait
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auparavant que trois ou 4 de ces oiseaux et comme la bête ne sentait pas il faut
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bien que ces oiseaux aient <u>vu</u> leur proie. Les vautours étaient de l'espèce qu'on voit
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à Mouszⱥwwa'. les aigles un peu plus grands avaient le dos blanc et noir et c'est là
 +
surtout l'oiseau qu'il est defendu de tuer sous peine de mort parce que disent
 +
les Galla il enterre nos frères morts dans le combat. Le festin de charogne était a peine
 +
commencé qu'un tout petit chien arriva au trot et sans s'embarrasser de ses soixantes
 +
convives dont un seul pourrait l'enlever ce me semble, il se mit à manger en
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poussant devant lui les oiseaux de proie qui le gȇnaient. Ceux-ci avaient peur du
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petit chien car ils quittèrent tous le cadavre peu après et restèrent a distance
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respectueuse le dos tourné vers la mule et regardant en arrière de tems en tems. Enfin
 +
il allèrent l'un après l'autre se rassembler sur une pente voisine et ne perdirent
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de vue leur proie que lorsque la nuit les rappela à leurs nids.
  
  
 
==== affaire du fⱥsⱥs e ====
 
==== affaire du fⱥsⱥs e ====
  
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+
J'ai dejà parlé des vexations qu'éprouvent les marchands. A mⱥrowa un G.
Journal— dongord 26 juin
+
enleva sans façon le cheval chargé de [Arabe] et plusieurs cavaliers durent courir
maison, les sillaient et leser vemettaient à leurs seigneurs qui mettaient leurs ceintures, laissain
+
après lui pour ramener la marchandise. En general tout homme qui a de l'influence
β
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morale ou physique s'attend à un cadeau. Si on ne l'écoute pas il arrête le bêtes lui
leuxps toges et mebtaient par fois un mauvais lamd de tigre, puis partaient en menant leur chival
+
tout seul et plaide sa cause comme un forcené. Le talent du nⱥgad Ras consiste
en laussé car les bêtes du Goudrou. se fatioment vite et seraient bientôt attentes par le cousées
+
à savoir à qui il faut donner et à qui l'on peut refuser sans danger. Ces cadeaux  
de hombo.Tout eui se passait très lentement chacun allait de son coté et je necron pas
+
sont toujours à donner à part de la main à la main et sous les toges. Selon l'usage, on
qu'il partit plus de dix cavaliers pour s'opniser aux guerriers de pounnole. ceux-ci venent
+
ne paie rien à mⱥrowa mais cette fois-ci les marchands cédèrent à la rapacité des
Jus que sur la hauteur voisine du dannaba virent cette rivière et allèrent ven l'ouest
+
G. les gofta ou abban protègent les marchands dans ces discussions mais je crois
emchener un beau troupeau de vaches. Ras ouneo partit enfin et tous les marchand
+
qu'en géneral c'est feinte de leur part car je n'ai pas vu un marchand qui louȃt
firent des voux pour qu'une lance dedjimma mit fina ses exactions. on brula une
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son gofta. à Kobbo il y a un <u>fⱥsⱥs</u> ou droit pour obtenir la permission de partir.
20e de grosses hattes, tlas de petite dimension étant négligées et vers le soir Djemma
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on le discuta tout une nuit entre 7 Gallas représentans des 7 clans et la discussion n'était
s'étant retire, les cavahiers de Grivinrent et apprèvent aux qui sans recevoir une seul
+
pas bien finie à la pointe du jour. Si cette discussion avait lieu de jour il y aurait
blessure les gens de hrimma avaient tué deux cavaliers ets pietons. Ces tristes nouvelles
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trop de de monde et l'on ne pourrait pas s'entendre. Ces 7 vautours de nuit parlaient dans
furent accueillies par les lamentations des filles de Goudrou.
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l'obscurité sous l'ombre d'un grand arbre. Enfin le gros du fⱥsⱥs fut convenu et le
Les gens de Dimma ne brulèvent pas les maisons près du vaimaba parce qui cette
+
nⱥgad ras me demanda la déclaration de mes effets pour déterminer ma part de
rivièren à que deux gués dont un seul praticable pour un cavalier.t quoigidelle sois
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l'impot. Je demandai en vain <s>qu'</s> à contribuer pour mes deux charges ou un sur 30.
fort étrocte (3 à 4 mètres au plus) elle à ses rives ou coupées à pic ou defindues par des
+
on me répondis que j'avais 2000 $ et qu'il était d'usage de payer 1/20 ou 200$.  
fondrières et si les gués sont defendus, la ligne de defeuse est très-forte. En consiguence
+
enfin pourtant Getou promit de me prêter dix <u>tokour </u>payables dans önarya mais le jour
les gens de djimma, la nuit qui précédera leur incuision, demoliront les maisons
+
du paiement du fⱥsⱥs il refusa [Arabe] me dit alors que je devais ouvrir mes effets et faire
voisaues de la rivien, feront un pont et porteront ensuite leurs armes dans le coeur
+
voir ce que j'avais et le marchand chrétien Gaffi dit de mȇme. Je repondis qu'il est honteux  
de Goudrou qui n'a plus de bonne ligne jusqu'à l'Abay. Le surlenemain de cette
+
chez eux de faire ouvrir les effets et offris de déclarer ma propriété sous serment mais on
incursion toute la rivé gauche du dannaba fut abandonnée. seulement on y enveyait
+
voulait <u>voir</u> et comprenant que si je me soumettais on ne me ferait pas moins contribuer
paitre les vaches.
+
plus que les autres puisque je ne connaissais pas les usages en pareil cas, que je serais enfin
J'oubliais de dire que dans l'incursion du 15 un guerrier de Diimma prit une
+
traité comme Burckhardt, je me levai fort tristement pour aller au cercle où les
jeune fille et descendit de cheval comme pour emporter un trostce. Caisse donc crièrent
 
les femmes c'est une jeune vierge— c'est bien ce que je cherchais dit le guerries et la
 
conchant par terre l'égorgea comme une bite, ouvrit son vicitre et enteou son
 
peritoine pour l'examiner et l'attacher à son col. Il parait qu'un devin dedfjömma
 
avait paomis de grands succes à sa tribus. si elle lisait son sort dans le péritoine
 
d'une jeune fille. ceci me fut dit avant l'incuersion victorieuse du 15, et les gens de
 
Goudrou ne témoignaient pas d'horreur en racontant unce pareille atroute. iprès
 
un tel acté de ferolité je croirai bien des atroutes de la part des Galla. Ce même
 
jour un Djomma prevint son beau-frère du Goudrou qu' il ferait bien de quitte
 
la rivé gauche du donnaba et en disant la bonne aventure e découvris que plusieur
 
Goudrafe avaient près femme dans Djimma. La victime égorgee pouvait ainsi être
 
parente de son mentrier.
 
Deux des puules du nagad ras Getou Abba dam, moururent andannaba l'un
 
d'elles atteinte d'un rhumatisme du bassen qui l'empê chait de se lever resta trais jours
 
assise comme un chien sans que personne lui donnat de l'eau. elle mourat prob.t de
 
soit de tems en tems elle se couchait et les vautours la croyant morte venaitnt alor
 
lui donner des coups de bec. 11 m approchai d'elle et elle fit le sruit hennit comme s'attendent
 
à recevoir sa nourretenet. en fu elle mourut et son maitre la fit trainer au loin.
 
En moins de 1/4 d'heure soixante vautoirs et aigles l'eurent entoure. Il n'y avait
 
ouparavant que trois où 4 de ces ocseaux et comme la bête ne sentait pas il fant
 
bien que les oiseaux aient vu leur proie. Les vantoiurs étaient de l'espèce qu'on 3oits
 
à Mouszawwa. les aigles un peu plas grands avaient le dos blane et noir et c'est là
 
surtout l'oiseau qu'il est defendu de tuer sous peine de mort parce que disent
 
les Galla il enterre nos frères morts dans le combat. Le festen de charogne était a peine
 
commencé qu'un tout petit chien arriva au crot et dans s'embarrasset de ses soix autes
 
l l'enlever ce me somble, il se mit à manger en
 
convives dbut un seut pourrait
 
poussans devant lui les oiseaux de proie qui le genaient. leux-ci avaient peter du
 
petit chien car ils quittèrent tous la cadavre peu à plès et restèrent a dès tamce
 
respecmense le das tourné gers la mule et regardant en arrière de tems en tems. Enfin
 
il allèrent l'un après l'autre se rassembler sur ua pente voisine et ne perdirent
 
de vue leur prbie que lorsque la nuit les rappela à leurs inds.
 
J'ai desce parti des térations qu'eprouivent les marchands. A marowarC.
 
enleva sans façon le cheval chargi de j.S.S et plusieurs cavaliers durent pouvir
 
après lui pour ramener la marchandise. En general tout homme qui a de l'u luence
 
morale ou physique s'attenda un callait : si on ne l'écoute pas il arrête le bêtes lus fasas
 
toit seul et plaide sa cause comme un forcène. Le talent du nagad Ras consiste
 
à savoir à qui il faut donnert ce qui l'on peut refuser sans danger. Ces cadeaux  
 
sont toujoins donnés à part de la main à la main et sous les togles. Selon l'usaige, on
 
ne paidrien à marowa mais cette fois-ce les marchands cédèrent à la rapalité des
 
G. les gotta ou abban protégent les marchands dans ces descussions mais je crois.
 
qu'en géneral c'est ceutte de leur part car je n'ai pas vu un marchand qui touat
 
son Agta à kobbo il y a un fasas ou droit pour obtener la permission de partir  
 
on le désenta tout une nuit entré 7 Gallas représentans des 7 clans et la discussion n'etaid
 
pas bien fime à la pointe du jour. Si cette discussion avait lieu de jour il y aurait
 
trop de deponde et l'on ne pourrait pas s'entendre. Ces 97 vautours de ruit partaient dans
 
l'abscurité sous l'ombre d'un grand arbre. Enfus le gros du fasas fut convenu et le
 
nagad ras ne demanda la déclaration de mes affits pour determener ma part da
 
l'empot. Je demandai en vain qu'à contribuer pour mes deux charges ou un sur 30.
 
on he répondis que j'avans 2000 $ et qu'il t'était d'usage de payer ou 200$.  
 
enfue pourtandt Retdu promit de me prêter dix tokour nayables dans önarya mais le jour
 
du paiement du rasas il refusa c At me dit alors que je devay ouvrir mes effets et faire
 
voir ce que j'avais et le marchand chrétien haffi dit de mène. Je repoudes qu'il est honteux  
 
chez eux de fain ourrer les effels et offris de déclurer ma propriété sous sorment mais on
 
voulait voir et comprenant que si je me soumettais on ne me ferait pas moins contribrus
 
plus que les autres puisque je ne connaissais pas les usager en paredd cas que je serais enfin
 
Ourckhardt, je me levai fort trestement pour aller au cercle où les
 
tralte comme
 
 
marchands m'attendaient assis par terre. Alors il me vint l'idée que si je ne fesais
 
marchands m'attendaient assis par terre. Alors il me vint l'idée que si je ne fesais
j'auray plus d'independance et n'établerais pas de mauvais
+
pas comme les autres j'aurais plus d'indépendance et n'établirais pas de mauvais
pas comme les autres
+
précedent pour les voyageurs d'Europe. Je pris à part Getou et lui promis 18$ à condition
voyageurs d'Europe. Je pris à part Getou et lui promis 18$ à conditin
+
qu'il ne me ferait entrer dans aucune affaire d'impot. Je lui fis en outre promettre
précèdent pour
+
de ne pas mentionner notre accord. [Arabe] dit-il en Galla c'est fait. Le cercle de marchands
5 les
+
était furieux d'avoir été joué et de ne pas même savoir notre conversation. [Arabe]
'il ne ane ferait entrier dans aucune affaire d'inopot. le lui fis en outre promettre
 
de ne pas meltionner, notse accores rI dit-il en Galla c'est fuit. Le cercle de marchand
 
zea suvien d'avoir été éous
 
et de ne Ras même savoir notre converction? L A
 
incusstion
 
d
 
djomma
 
B
 
acte
 
atrocc
 
sautours
 
α
 
affaire
 
La
 
ε