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Éthiopien d'Abbadie 266
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Version du 08/04/2021 avril 2021 14:01:25 par Mathildealain
Page créée avec « === maladies - kötto 1er juillet. === 11 ==== gale a ==== ==== cholera b ==== ==== hydrophobie e ==== ==== ver solitaire f ==== ==== pan… »

Deprecated: Function strftime() is deprecated in /var/www/vhosts/transcrire.histolab.fr/httpdocs/omeka/themes/transcrire/view/scripto/scripto/public-app/revision/compare.phtml on line 72

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Version du 11/10/2021 octobre 2021 08:45:47 par Anaiswion
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=== maladies - kötto 1er juillet. ===
 
=== maladies - kötto 1er juillet. ===
  
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==== cholera m ====
 
==== cholera m ====
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à me dit que l'un des 1en symptomes de la sisphiles est un leger noirassement de la peau.
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La gale est très conone chez les Gallas qui ne s'en mettent millement en garde et prétendent que
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sa contagion n'existent que de mait. ils disent ne pas connaitre de remès
 +
cadie.
 +
pour ces
 +
te η
 +
té de 183.5. Le jour
 +
is
 +
bisue de
 +
Le cholora morbus dit kambal en Tögray penetra en
 +
Ab
 +
de St Jeau (10 sept reou environ) un temoin pculaire qui descendait à Moussawwa' avec une caravane
 +
vit mourir 44 de ses camarades entre le lever et le coucher du soleil. on transporta plusieurs des
 +
malades dans le climat sec et res saire de Mouszawwa' mais tous périrent. L'ommon prevalut
 +
que cette, maladie est contagiense. Elle fut la plus forte en Tögray, perdit beaucoup de son
 +
Gallas ni même dans le
 +
intensité en allant au dela du Takaze et ne pénétra pas chez le
 +
Gosans qui est en communication journalière avec le Bagemödr. Elle sevit à Dabra
 +
Wibor. où il y avait beaucoup de soldats et de pauvres mal loger. En Ayn l Bougna (kasta
 +
échotera exerea tint de ravages que les semailles furent alandonnées en gönbot (mai) et
 +
et cette fertile l rovince fut ensuite depenplée par l'émigration Auj. il s'y trouve peu d'habetans
 +
hydrophobie est mostelle dans ö naly a si on ne la guerit en fesaent ingirer une scarabée qu'on trouve
 +
Turtout dans les champs de dourrah et seulement dans le mois de maskarran. on pulverise douzo
 +
de ces Sarabies : elles purgent fortement et guerissait le malade.
 +
Le morpion ne parait pas être connu en Ethiopie
 +
on croit généralement et les Falacha le croient et le disent qu'il n'existe pas de ver.
 +
solitaire chez les Salacha. Cependant ce ver à un nom partieulier dans leur langue.
 +
1lage.
 +
les nègres eeéclaves ont le ver. solitain en Abyssinie et disent l'avoir dans deur
 +
2 rachitisme
 +
3. syphilis quand parat.- elle ?
 +
4. tepre. La bien décrire. contagion ? propre pays. on attribue partout ce ver à l'ingistion de la viande crue,
 +
Salacha ne mangent pas de Se qui n'en a jumais riengé fit en voyage un
 +
dont
 +
G. Strabisme
 +
6- tris mus, tétanos) jeune force de deux jours mangea ensuite du chola (figues) et cupuisa des portions de vis
 +
apiès. Il l'expulsa par le kosse deux foit de suite la 2e fois en Armatoho
 +
J pierre— charpiesdeux jours
 +
esciède et le beut dans Sanar il ie lui est pas revenu depuis. Tout le monde
 +
que les moutons ont ce ver et l'on prétend mêm que quelques vachas
 +
3'ulcères — varices )Sacheta le
 +
Dkala Gouzay qui ne mange pas de vianide true. il n'est pas
 +
9. gangrène des extremites di
 +
l
 +
sjon
 +
nare; Il est plus care encore chez les chohou.— Le ver solitaire parait chez 30
 +
iaude crue : cette maladie
 +
10e hydrocèle tscomme mais il ist
 +
De
 +
algri leur usage de ne jamris mas
 +
teoit dire quille est rendue plus inteuse
 +
N. cns sipèle, les falacha par fois n
 +
tient donc au pays. En somme
 +
2. entorses et leurs consiguences.
 +
rl'usage de viande crul du maleucté, car monfn'en eut qu'au jaur où il
 +
13. rhumssatis me ptus fréquente p
 +
14. tumeurs blanches) commenca à manger le tab Abyssin qui est char bonné en dehors et crie en dedans.
 +
Le panaris dit k'orabba en Dambya et korabbo en Gojam est par fois
 +
très violent et mortel. on préarise comme chez nous une foute de emèdes plus
 +
15. maladies des articutation
 +
b. luxations — fractures
 +
)ou moins efficaces.
 +
Le löfe (tölölta en Tögray) est un phlegnion près la peau. Jen ai vu
 +
t. retrecissement de l'urêtre
 +
un sur le libia à 5 centemettes ol dessous du genou. on recommande le
 +
18. cancer.
 +
19 polispe de l'eterces et du reziautire actuel pour provoquer l'epanchement du pus à l'extérieur : c'est aisc.
 +
qu'on guerit un phleqmon dans les sein droit d'une jeune fille. Le lautère acluel est le remède
 +
20 hermes
 +
21. anevrismes nabittiel de tous les maux en Abyssinice. le puès du löfie estblanc.
 +
Le tigrida fatête des Gallas) a étébien décrit par Pearce
 +
même gelant à son remède mais celui-ci guerit farement une
 +
22 hemorhagie dans le parae plaie
 +
23 ampulations matadie qui parait affecter le cerveau et comme la plupart des affections mentales, ten
 +
a revenir périodiguement. Dans önarya l'époqsie du tigrida est en maskarramn
 +
)'entembre) en kafa c'est plus tard et lors de la moisson.
 +
e iprs
 +
24. pansemens.
 +
25. plaies penctr de la portrie et dubas ventre
 +
J'ai vu hier 113 septt) un dizaine de femmes prises du
 +
26. varrote, rouge le
 +
atete qu'on attribue à une fée (zari) et elles dansaient en public au tambourin, la tête couronnée de grandes
 +
feuilles absolunent commel les Bacchantes de l'antiquité. J'ai été frappé de cette ressemblance. les 2
 +
premières femmes portaient des plunces s lanche piquées droit dans leurt cheveux comme des guerriers
 +
Gallas qui cherchent aventures et le chaut était uli nous sommes venus, 2, 40, qui me fit poeuser et dire
 +
tout bas evoe, evoe, le v Latin repondant au 0 Ethiopien mis ici pour sauver le hamza.
 +
En Ethiopie dès qu'un pays est plus bas que 2000 mètres il est suj et au nödadl sorte de tsplues)
 +
mais un sol rouge c.a.d. ferreigineux l'est bun moins qu'un sol noir (walka du mazaga) où le
 +
typhus existe habituellement depuis le comm.t de mas karram jusqu'à la fin de hödar(du10
 +
sant  au 9 novre) j.a.d. l'epoque où la terre trempée par la pluie étésienne se dissiche sous
 +
l'influence d'un soleil très-chaud. Toutes les révières encaissées donnent infailliblement le niödad à
 +
cette époque là p. ex. le göba au laga amar a Abay, Takaze etc. Le göbe au laga amara entoure
 +
d'arbustes peu élevés et le marab près a'darbate quoique peu emaisses ont le nödad. Dans linmou
 +
önarya où la terre est rouge Le nödad est moins fréquent mais il sivit sur ceux qui vont
 +
laver à une fontaine encaissée de saka et qui s'y asseyent ensuite en attendant que le linge
 +
sèche. En un mot le nöda parait endemique partout où il y a humidite abondante et forte
 +
evaporation car dans les plaines sèches et brubis du samhar il est enconnu. on dit que
 +
cette malalie terrible fait son liaasion surtout quand an on sort' après le lever du Soleil
 +
et quand la rosée a été. forte c.a.d. par un air pur qui favorise le roisonnement de la33
 +
chaleur la nuit et l'évaporation de jour. L'nödad commence par une violente aephalaloie
 +
on se plaint ensuite d'un froid inteuse et le danger est passe après le 7e jour mais la
 +
convalescence est très- Cente et k'on se ressent des années distières de cette terrible maladie.
 +
La saison qui precède les pluies est malsaine aussi, je ne sais par quelles causes. c'est
 +
malsainea peu près celle de la peste en Egypte. Si une endemie commence avant les pluies el le necesse pas
 +
ord. jusqu'à la fin des pluies. avant les pluies ou faudes qu'elles sont encore legères les rhumes sont fort
 +
 +
Le k'orabba n'est pas le panaris et me parait de voir être édentifié avec la peste brientale. En
 +
communs.
 +
2 effet il consiste en enfluris qui sont entourées d'yeux (plague spots) et coutiennent peu ou point de pus. Quata
 +
l'influre parait dans l'aine le malais seccombe ordinuirement. Le dilire est un des sesmptomes du
 +
k'orabba : on le croit contagieux et on le craint plus que la petite virole. Le phlegnon a et du k'orabba
 +
a été vu sur la plante du pied et il se présente sur toutes les parties du corps. Je vis à saka un homme
 +
se plaignant de puis le jours de cephalalgie et ayant deux petits bubons sous l'aisselle droite : marcha
 +
dit que c'était le korabba et ne voueut pas en prononcer le noi en présence du malade. Cette maladie
 +
est fort commumne en Dambya où elle enlève beaucoup de monde. Elle sivit surtout croit. on
 +
dans la k'oafaison pluvieuse et est fort rare sur lis daga. le lieu où le phlegmon parait le al.
 +
souvent est autre les amoplates mais il se présente sur les totes dans les aisselles. Le froid est le 1.er Equiptome
 +
puis l'enflure commence : on se plaint de froid et de mal de tête. quand le phlegmon crève le pus est clair
 +
hus maligmim) et lin peu au blanc. on meurt rarement après que la suppurction est établie. il y a
 +
des taches noires fayn) autour du pllégnion et leur cicatrices sont radiées et comme veinées. Ces cica.
 +
-trèces conservent toujours leur couleur noire comme brulée par le feu. Si le korabba dire plus de
 +
dix jours tout danger est passé. on ne meurt pas avant le 4. jour. Cetté maladie ne parait pas
 +
exister sur le plateau d'öndarta. Si on presse l'enflure il reste un trou sur place. on dit que la
 +
peau d'hyspohotame scortched & poundid mêlée à du beurre et euhibée comme onguent guérit
 +
le k'orabba. le délire vient après l'enflure. Le k'orabba n'est pas regarilé comme contagieux.
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on ne sait me dire s'il alleint 2 fois le même individu. Quand on l'a réconnu on dit au malage qu'il
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monforobba pour qu'il ne meure pus sans le savoir. Ce pendant le mal n'a jamais tué autant de
 +
le 1
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éholera morbus durant sa courte apparition
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Le cholera entra en Gojam mais intraversa pas le Abay.
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Salou chef des entre caraveine fut pris d'une vive douleur au doigt du milien qui s'enfla au bout de
 +
D jours. Cemet était intermittent mais par par pério des fires et quand il seversait le malade j était les hauts.
 +
e Le eu
 +
22