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Éthiopien d'Abbadie 266
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Version du 12/04/2021 avril 2021 15:03:16 par Mathildealain
Page créée avec « === loix coutumières === ==== fⱥtha nagⱥst a ==== ==== *t*ök'a b ==== ==== juge commis c ==== ==== avoués d ==== ==== ser… »

Deprecated: Function strftime() is deprecated in /var/www/vhosts/transcrire.histolab.fr/httpdocs/omeka/themes/transcrire/view/scripto/scripto/public-app/revision/compare.phtml on line 72

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Version du 11/10/2021 octobre 2021 11:36:54 par Anaiswion
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=== loix coutumières ===
 
=== loix coutumières ===
  
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==== prescription m ====
 
==== prescription m ====
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connaissait par le fatha nögast. Aus. Azas Lame le plus savant dans cette partie à Gondar refus.
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à 78
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d'aller chez les Lik'aoient qui font consulter chez lui : mais il ne refuse pas d'allerchez le Roi dans les rars
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54
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cas ou ton on appelle du jugement du Roi au fatha nagast. le livre est le recueil dvactes du Concite
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de fricie et les Abyssins ifferment qu'il contient toutes leurs lois mais lorsqu'on les presse ils admettent)
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le contraire ce qui est le evident. pour l'usage de faire déposer dans la maison du temoin etc.
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Le 680 $ (bök'a) selon marcha est ainsi nommé parce qu'il est attachié à la terte . sa princi.
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pale fonction est celle de cadastre vivant ce qui l'a rendu héreditaire. Il juge en fère instance
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sur les disputes touchant les bornes. Comme il confent les terres. lui seul sait quelle est la
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quotité de l'impot el c'est lui qui est le percepleur. en cas de besoin il va chez le mösölene
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bou sous gouverneur et lui demande force pour lever l'empot. L'appel du jugement du 2ök'a
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va chez n'iméporte que lsupérieurs et jusqu'au toi. Si c'est un jugement de ŧök'a d'église, toute
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létigation se termène chez le Lika maton car ces procès pour fief ecclesiastique ne vont pas au
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Pao le demandeur se nomme run (kasach) : le défendeur est 1 non (takasach) : si le domestiques
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commes pour recevoir les témoignages passe la nuit, c'est chez le demandeur qui doit lui donner
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sa ration : s'il allait manger chez le defendeur on l'accusérait d'avoir été emfanché.
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Dans tout proces il y a deux oortes de cautions 1.° y a sarat was ou caution de la proceducre : c'est
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l'avoue. Il repond de la présence du défendeur lorsqu'on va entendre les témoins les quels déposent
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chez eux en présence des parties adverses. Il répond des dommages interets si dans la chalius de la
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plaidoirée l'une des parties frappe ou injurie une personne présente. s'il ne se recuse il est de drois
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was du gabbi (caution de l'accepteur) lors du pari mais s'il refusé on nomme 2° un was a hocs
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de la part dû gabbi car celui qui offre le pari ou amène la bête ou dépose la somme entre les
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mains du juge. une mule est comptée pour un wakkat (10 ou9$) à Gondar et 15 $ à Adwa.
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Il n'y a pas de serment exigé des temoins ce qui est bizarre au milien de la défiance univer
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selle du pays. sa déclaration de Söma mösökor (entends le témoin) est regardée comme un
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fitöm de sa part. adis on frappait l'avangile lors de la déposition. auj. l'usage à prevalu.
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si c'est un homme d'eglise qui dépose de dire en présence d'une énage pieuse.
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S que l'image m'ancantesse) ce qui prouve le grand respect des Chrétiens d'Abs
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Sööl yatafañ
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ssuie pour les chiages pieuses
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que la croix on
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mask'al ybavasan
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Söma mösökör entends le témoin
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Depuis que les soldats gouvernent et jugent on peut manquer en fötoin wangel en
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donnant 20 sels et ner ainsi ce que l'on avait adinis. mais dans les cours judicaires propr.
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dêtes c.a.d. chez le Roi, les Lik'aount d'abage, les Alaka, le fötöm wanczel : est de fiitef
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ha daña ya tanagarout aytaba ce qu'ok a partit devant le juge ne s'ancantit pas
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ba wot y a baltout aykzara. ce qu'on à mangé avec la sance n'est pas mauvais
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d'après l'axiome ε.
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Les droits du juge ou frais de justice se composent 1. du montant des paris : mais ces paris
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peuvent n'avoir pas été faits. 2.e du dananat pour lequel il n'y a pas de règle et chose bizarre
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le juge fige lui-même la quotité : mais vu la multeplicité des juges et l'ambignité de leur
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j'urudiction on punit aisement un juge trop vorâte en ne pas s'adressant à lui seulement
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dans le cas où Les arbitres ont prononce des dommages interets le juge prend une somme égale
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à ces dommages interets et c'est pour cela que les arbitres prient la partie gagnante de pardonnes.
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la 1/2 de lal somme. Ainsi le juganciens ont arbitre 8$ en faveur de natroe qu'ils supptient
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insuite d'en pardonner la 1. s'il le fait le jugé à droit à 4.$, montant rel des donmages
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ce proverbe s'applique à la caution et
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interets
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montre. l'asage Abyssin de donner la
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ya taraza yalobs qu'il habille. celui qui est me
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ya taraba y agors qu'il ndonne la bouchée à celui qui afars) bouchée dans la bolclie d'un autre.
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on ne juge pas les jours de fête ni même aux fêtes mensuelles de Na81ር et d'ögziabher. mais si' un
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jugement avait en lieu ce jour là il ne serait pas déclaré mel pour cela même E règle les di k'aount
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ne doivent juger que les mircredis et vendredis jours de jeune : mais cela est tontéé en déjuetade
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Les Lik'avent étaient jadis choisis pour leur sagesse et savoir. auj. la charge est devenu
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hereditaire moyennant 30 wak'k'at. Lik' Atkou le plus instruit de ces julges nobles ne savait
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pas le fatha nagast qui est cependant le cod légal en Abyssinie bien que la coutunce l'ait
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largement changé en pratique.
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Il a été quistion du divorce plus haut, c'est le mari qui divorce et on ne peut pas l'y 62
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forcer directement mais si le divorce est recherché par l'épouse le mari ne peut l'empiclierqu'en
 +
rendant sa femme prisonnière c.a.d. en l'attachant à un kwaraña caril n'est pas possible
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d'emsrisonner autrement. Si le mari refuse olstinement de divorces ce qui arrive couvent
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quand il a 2 rendre une dot riche, la femme s'échappe et se cache. son père ou plus proche
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parent demande qu'on exhibe sa personne et comme lors du mariage . on institue toujours
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un cauton exprèr (ya ödj was) pour maintenir l'inviolabilité de ses yeux et dents, on a recoir
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contre cette caution qui en cas de refus reçoit des garmisaires chez lui. Alors la caution ou le mari
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pour faire venir la femme sont bbligés de lui promèttre le divorce. La caution à le droit de
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veiller à ce que la femme ne s'échappe pas mais il est difficile d'etre toujours aux aguets c'est
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une fois le procès intenté le desistement n'est plus admés car le juge ne vent pas renoncer à ses
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pour quoi il n'y veille pas.
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En généril on tutou en plaidant : ainsi l'aya fari du alagu de Dambata qui juglait debout et avant
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droits
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les conseillers. disait à un plaideur : wasköhn kotar crourmis ta cautions. Cependant j'ai entendu un domestique
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plaider contre son maitre en employant toujours le : étatayak, yfatam etc. au langage respectueux.
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ba houlat daña aymagwatou on ne plaide pas devant deux juges air on ne peut pas intenter le
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ba houlat karra aymatarou on ne coupe pas avec deux couteaux même procès devant 2 jugis diffirins
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6a houlat choumal aymatou (mieux )onni frapge avec 2 batons
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La coutume du Damot ne permet pas à un wayzaro de plaider assis : elle n'admet pas le fatam
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wangel mais bien até imoutjcuar damot dit la tradition est un pays conquis.
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La preseription civile est admise je crois en Abyssinie. Au criminel elle ne l'est généralement pas
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probablement parce que les conquérans Tögray et Amhara voulurent conserver l'usage
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semitique de rendre sang pour sang. Le droit les langues et les formes plussiques sont les
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trois indices qui établissent l'indipendance filiation des taces et comme j'avais reconne des
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ressemblames entre les races Khamitique et gatine je regrettais de ne pas trouver la prescription
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longi tempons se caracteristique du droit Romain Hais dans cette malheureuse
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Ethhiopie il faut attendre les renseignemens au lieu de les provoquer. or je viens d'apprendre
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qu'en Sömen si' 'inn meurtrier parvient à s'écharogier il revient au bout de douzedans
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etéteint ensuite le sang par un mariage avec la famille de sa victime. Le Somen est à
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plu près le dernier pays khamitique de l'Abyssinie qui ait conserné son endépendann
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et l'on peut enpaiflitr ainsi à la race Agan l'institution se sai de la prescription.
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Je voudrais bien pouvoir questionner à cet égard des Awawa' et södama
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sengulière facilité des hoeurs Abyssines. à Gond
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dabre au cote et un entame demander une p detatad'ai un souvent plauler avec le
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vrise au juge qui venait de le condamner. 88
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kllas