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− | ==== Les Falacha ====
| + | Les Falacha |
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− | Les Fala chax
| + | Passons aux fȇtes des Exilés. En principe il y en a tant qu'il ne resterait que deux journées de travail par an mais les Exilés sont pauvres isolés de leurs frères et obligés de travailler beaucoup. Aussi ignorent-ils la plupart des fêtes ainsi que (Le V. XXV, 4) le repos de la 7è année. L'année écclésiastique fut évidemment lunaire dans le principe bien que les F. aient aujourd'hui adopté le calendrier des chrétiens. Le jour de [barré] Chaque jour de [jour de en interligne supérieur] nouvelle Lune est une fête, ainsi que le 10e jour de la Lune: ceux qui observent cette fête (arfe asⱥrt) obtiennent aisement les faveurs de Dieu car le portier du ciel se laisse fléchir ce jour là. Les jours de fȇte on communie de bon matin au pain azyme. Le service est entièrement oral et dépend de la faconade du prȇtre. Seulement on lit l'ouvrage dit astⱥri le jour de la fȇte de ce nom qu'on appelle aussi bⱥàlⱥ Yosefet qui arrivé le 10 mⱥs |
− | Cassons aux fites des Efilés. En princine il y eu a tant qu'il ne resterait que deux journées de travail par e?
| + | kⱥrrⱥw. C'est le jour où Joseph revit son père. 5 jours après est le bⱥàlⱥ matsàlat qui me semble être la fête des tabernacles mais un F. me dit que c'est la commémoration des festins que donna Joseph à son père après avoir passé 5 jours à faire des provisions. Lesa est la nouvelle lune de mⱥgabit dont le 14e jour sera Paques s'il tombe dans le mois de miazya. autrement le jour de Paques est le 14em [exposant] jour de la lune de miazya car cette fête n’a jamais lieu dans aucun autre mois. En 1842 le lundi 25 miazya [(réserve)] était le jour de boho ou de pain fermenté et la Paques des F. était le lundi 18 miazyà [(réserve)] car on ne s'attache pas à faire tomber toujours, comme les Chrétiens cette fȇte sur le Sabbat. A la nouvelle Lune de hödar on fete l'entrevue de Moise avec le Tout Puissant et le 10e jour de cette lune est la commemoration de la reception de moïse par les Israelites. Le 12 Sⱥne est la reception des tables de la loi : on l'appelle ord.t touwassi mⱥrⱥr ou entrée de la saison des pluies. La nouvelle lune de w[?]rahare se nomme chaghi [(meme mot en caractères arabe)] barabou et est une des grandes fetes (àwda a'mⱥt) de l'année. Le 28 nahase nommé tⱥzkarⱥ abraham est l'anniversaire de la mort de ce patriarche ainsi que de Sara, Isaac et Jacob. on mange le gera ce jour là. mⱥchi barabou est la nouvelle lune du mois de Xör. En 1842 le tazkarⱥ abraham était à peu près au milieu de pagwmen. on appelle cette fête bⱥkⱥr baàl (tête ainée) prob.t parce que c'est la plus ancienne fête. [fête barré] Le 1e jour de la lune de touwassi mⱥrⱥr et de mⱥchi mⱥrⱥr on mange son pain [av barré] brisé avec du beurre et du caillé, à peu près comme les Gallas. Je dois observer qu'un diacre F. m'expliqua autrement arfe asⱥrt (litt.t. dixième de la lune) : selon lui c'était en 1842 le 25 hamle puis le 25 hahase puis le 20 mⱥskⱥrrⱥm et ainsi toujours de 30 en 30 jours de sorte que cette fête fait le jour de l'année en 73 ans. S'il en est ainsi l’institution de cette fête doit dater de l'époque où les Egyptiens et prob.t le reste du monde d'alors usaient de l'année vague de 360 jours. |
− | an mais les lexélés sont pauvres isolés de leurs frères et obligés de travailler beaucoup.t Aussi ignorent-ils la plu 6. | + | |
− | part des fêtes ainsi que (Le 1. Xhv. h) le repos de la re année. L'année éccles iastique fut à videncient lunaire dans
| + | La manière dont les F. se vétissent au repas paschal ne peut s'expliquer que par un usage qui |
− | principe bien que les D. aient aujourd'luie adonte le calendrier des chrétiens. Le jour de chague nouvelle Lune | + | n'existe auj. qu'en Abyssinie bien qu'on puisse expliquer comme les Abyssins le passage de S.t Luc. XVII-8. La loi de moise (Exod. XII, 11) dit qu'on doit se ceindre pour le soir de Pȃques. En Europe nous disons que les sandales le baton et la ceinture sont des préparatifs de voyage pour sortir de la terre d'Egypte mais les F. ceignent leurs toges sur le bas du corps selon [chez?] Abyssin pour témoigner leur respect et de cette façon on ne peut faire dix pas de suite sans trébucher. C'est ce qu'on nomme tatⱥk et les prêtres chrétiens se ceignent ainsi pour dire la messe. baa’lⱥ tafsöht (fête de joie) est le nom de la paque chez les Exiles. on y mange debout du pain azyme et un mouton d'une année dont les cornes ont commencé à se retourner. Pendant les sept jours d'ensuite on ne mange que du pain azyme. |
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− | est une fête, ainsi que le 10e jour de la Lune. ceux qui observent cette fête (arfe ajart) obtiennent aisement à
| + | Lya est le jour de l'annonce fait par Moïse aux Israelites de leur prochaine sortie d'Egypte. |
− | ommunie de grand.
| + | [touwani?] mⱥrⱥr est le 42e jour après le jour de levain ou le 60.e après Paques. mⱥhalat deux mois après paques [mot barré] astⱥri [mot souligné] c.a.d. en tökamt [mot souligné], est la grande fête de reunion et le jour de pelerinage à Ḳohwarouma [2 points au-dessous du h]. |
− | favains de Dieu car le portier du ciel se laisse flicher ce jour la. Les ;ou
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| + | Les F. ont des pⱥblara ou chantres mais comme ceux-ci n'ont pas de fiefs ils n'ont pas acquis |
− | ce seulement on ι
| + | chez les Exilés cette absurde prépondérance qui chez les Chrétiens leur fait dicter des lois aux prêtres, aux komos et même à l'Evȇque ou Aboun. L'institution des Lik'a kahnat (mot à mot archiprêtres) [inexiste?] chez les F. |
− | matin au pain azym. Le service est entrèrement oral et dipend de 2à) | + | |
− | l'ourrage dit astari le jour de la fite de ce nom qu'on appelle aussi baa'la Tojefet qui arrivé le 10 mas | + | La prière que j'ai copiée (25U) est un charme contre les dangers. on le lit p.ex. avant de se mettre en route et comme la salive a été sanctifiée en prononçant les noms du Tout Puissant on crache ensuite sur sa main et l'on frotte la salive sur toute sa tête. L’expression amlak amalkⱥt [2 mots barrés] dans cette prière signifie auj. Dieu des Dieux mais on la traduit comme chez les Chrétiens par le Seigneur des Seigneurs selon la signification primitive du mot [mot de 4 lettres hébreu?] : quand on prononce ces mots tout. la congrégation F. se lève [ceint sa toge/ ajout interligne supérieur] de mȇme qu'au mot [mot de 4 lettres en amharique]: [(tu es descendu (sur terre), les crochets sont dans l’original]. Ceci rappelle la genuflexion des Chrétiens ou Et Homo factus est. L'usage de la salive consacrée se trouve aussi dans la ceremonie de l'ardet sorte de cérémonie de relevailles. on lit d'abord le livre dit ardet [mot souligné] puis on crache sur l'enfant ensuite sur sa mère et enfin on verse de l'eau sur l'enfant sur sa mère sur ses habits. etc. Elle communie ensuite au froment : la pauvreté a fait auj. abandonner l'usage de manger ensuite de l'agneau que la mère aurait offert au prêtre. Les Chrétiens d'Abyssinie emploient aussi l'ardet [mot souligné] bien que les plus instruits d’entreux reprouvent hautement un livre qu'il faut probablement attribuer aux Falacha. Les Chrétiens disent que les Xll ardet étaient disciples de N.S. les Exilés au contraire prétendent qu'ils étaient XII Israélites venus après les chefs des XII tribus et contemporaines de la sortie d'Egypte. Ils voulurent mesurer les [la?] dimensions de toutes les oeuvres de Dieu mais arrivés à environ trois milles de Jehovah ils sentirent un vent entrer dans leurs narines et périrent. |
− | karram. C'est le jour où fosenh revit son père. 5 jours après est le baala matsalat qui me semble être
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− | la fête des tabernacles mais un D. me dit que c'est la commémotation des festises que donha roseph à son | |
− | père après avoir passé 5 jours à faire des provision. Lesa est la nouvelle lune de magabit dont le 14e jour | |
− | sera baques s'il tombe dans le mois de miazya. autrement le jour de Paques est le 14m our de la lune de | |
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− | marya car cette fête na jamais lieu dans aulun autre mois. En 1842 le lundi 25 miazyal
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− | le jour de boho ou de pain fermenté et la baques des Sa était le lundi 18 miazyà | |
− | ne s'attache pas à faire tomber toujours, comme les Chitiens cette fite sur le sabbat. A la nouvelle | |
− | Lune de hödar on fete l'entrevuu de Moise avec le out Puissant et le 10e jour de cette lune est la | |
− | commemoration de la reception de moise par les Israelités. Le 12 sane est la recepture des tables de | |
− | la loi : on l'appelle ord.t touwassi marar ou entrée de la saison des pluies. La nouvelle lune de | |
− | wrahase se nomme chagte cacte) barabou et est une des grandes fetes faida a'mat) de l'année. Le
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− | 28 nahase nommé tazkara' abraham est l'anniversaire de la mort de ce batriarche aicii que | |
− | de Sara. Isaac et Tacob. on mange le gera ce jour là. machi barabou est la nouvelle lienc du | |
− | mois de Xör. En 1842 le tazkara abraham était à peu près au milieu de pagwmen. on appelle | |
− | cette fête bakar baal (tête aince) prob.t parce que c'est la plus ancienne fite de 1e jour de la lune | |
− | de touwani marar et de lmachi marar on mange son pain avbrise avec du bourre et du caillé. | |
− | ce peu près comme les Gallas. Je dois observer qu'un diacre St m'expliqua autrement arfe asartflilé.
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− | dixième de la fune) : selon lui c'était en 1842 le 25 hamle puis le 25 hahase puis le 20 maskarram et ains | |
− | toujours de 30 en 30 jours de sorte que cette fête fait le jour de l'année en 73 ans. S'il m'est ainsi linstitutues | |
− | de cette fête doit dater de l'époque où les Egyptiens et prob.t le reste du monde d'alors usaient de l'année | |
− | vague de 360 jours | |
− | La manière dont les S. se vétissent au repas baschal ne peut s'expliquer que par un uesage qui | |
− | n'existe auj. qu'en Abyssinie bien qu'on puisse expliquer comme les Abyssins le passage de | |
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− | S. LucXY11t8. La loi de moise (czod. X1s1 17) dit qu'on doit seceindre pour le soir de Pagis. En Europe nois | |
− | d'isons que les sandales le baton et la ceinture sont des préparatifs de voyage pour sortir de la terre
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− | d'Eegypte mais les S- ceignent leurs toges sur le bas du corps selon bres Abyssin pour temoigner leur | |
− | espect et de cette façon on ne peut fair dix pas de suite sans tribucher. c'est ce qu'on nomme tatak
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− | et les brètres chrétiens se reignent ainsi pour dire la messe. Sacla tafsoht (fite de joie) est le nom de | |
− | la daque chez les Exiles. on is mange debout du pein azyme et un mouton d'une année d'ont les cornes ont | |
− | commencé à se retourner. Pendant les sent jours d'ensuite on ne mange que du pain azime. | |
− | fisa est le jour de l'annonce fait par Aoise aux Iraelités de leur prochaine soutée d'Egypte. couwani
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− | marar est le 42e jour après les pour de levain ou le 6et après baques. mahalat deux mois après baques.
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− | astaré c.a.d. e tökamt, est la grande fête de reunion et le jour de pllerinage à Kohwaroua
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− | Les S. ont des dabtara ou chautres mais comme ceux-ii n'ont pas de fiefs ils n'ont par ce cquis | |
− | chez les Eriles cette aourde prépondirance qui chez les Chrétiens leur fait dicter des lois aux prêtres, aux | |
− | komos et même à l'Evoque ou Aboun. L'institiction des Lik'a kah nat (uut à uot archi prêtes) risexeste chez ls.7 | |
− | Là prière que 'ai copiée (251) est un charme contre les dangez on le lit p. an. avant it se mettre
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− | En route et comma la silive a été sanctifiée en prononcant les noms du Tris frant on crackeensuite
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− | sur sa main et l'on frotte la salive sur toute sa tête. Lespression amlak amalkat dans cette | |
− | prière signifie auj. Dieu des Dieux mais on la traduit comme chez les Ehrétiens par le seigneur des | |
− | seigneurs selon la signification prissétive du mot 18pp : quand on prononce ces mats tout la
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− | teene qu'au mot 048.n : (en es descendu sur terre)). Ceci rappelle la genu
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− | congrégation S. se live.
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− | flexion des Chrotions au Et Romso factus est. l'usage de la salive consacrée te trouve aussi dans la
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− | ceremonie de l'ardet sorte de cérémonce de relevailles. on lit d'abord le livre dit ardet puis on crache | |
− | sur l'enfant ensuite sur sa mère et enfin on verse de l'eau sur l'enfant sur so mère sur ses habils. | |
− | etc. Elle communie ensuite au ffoment : la nauvreté a fait auj. abandonner l'usage de mange | |
− | lusuite de l'agneau que là mère aurait offerte au prêtre. Les Chrétiens d'Abyssinie emploient aussi
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− | l'ardet bien que les plus instruits d'entreux reprouvent hautement un lèvre qu'il faut probablemens | |
− | attriouer aur Salacha. Les chrétiens disent que les Xllardet étaient disaples de N.S. les axiles au
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− | contraire prétendentqu'ils étaient fes soraclités denus après lu chif des Xes tribus et contemporains de la | |
− | sortie d'Egypte. Ils voulurent mesurer les laimensions de toutes les auvres de Dien mais arrivés à | |
− | environ trois milles de Sehovah ils sentèrent un vent entrer dans leurs parinés et périrent. | |
− | cesS. ont une jolie tradition sur l'efficgcité de leurs prières. 300 des leurs étaient dans l'armée de
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− | ofamedi ces attaguèrent
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− | teurs prières et ils crèvent
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− | Roi et comme les ennemis savaient que les Exiles ne se battent jumai
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− | ce jour là. Le Roi ayant ou vain prié les D. de se battre leur demaie
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− | de concert N.vso: leur prèère d'habitude comme les Chrétiens disent 3o$ . Le combat jusqu'alors
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− | douteux tourna contre les rebilles. za hallo est l'énonciation du plus beau nom de la Divinité
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− | celui que 65 N.
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− | Les F attachent une gr. impoortance aux noms de Dien comme dans la labale des Juif. Cette
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− | circoustance et le fait qu'un grand nombre de ces noms est termine par il (1B) semblitindiquer que le
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− | langue Hibraique était le berceau de la léturgie des Falacha. Auj. la plupart de ces noms sont
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− | tellement de formés par l'insouciance Abyssine qu'il serait difficile d'e reconnaitre les racenes hebraique
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− | sans avoir recours à des hysportièses qui exigent une grande habitude de la langue de moise.
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− | Les Exiles recoivent comme canniques toutes les parties de l'Aucien testament y comprés a qui n'a
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− | ι
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− | pas été sanctionné par le toncile de Trente c.a.d. 4s 3e et 4 livres d'Esdras, henot le koufali. Leurs
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− | livres des Macchabées est sont ceux des chiétiens d'Abyssinie mais fort différeur des livres connus
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− | chem, nous sous le même nom. les princip aux autres ouvrages sont le Sami fatarat ou rtoire de la
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− | criation, tözaze sambel au traité sur le sabbat sa'tat ou livre d'heures et makababelias ouvrage
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− | inconnu aux chrétians et oue je n'ai pu examiner. Tous ces livres sont écrits en Gööz langue avec laquelle
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− | la plupart des chrétiens sont bien famillarises.
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− | Après avoir ainsi donn une idée de la religion des Aon est naturellement aminé à y joindie au moinsune
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− | consecture sur leur origine. la communion de pir froment, le 1/2 basitème de l'ardöt et le respect dû au waradka
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− | ttué ys descendu sur terre) pourraient faire croires que la religion des Erèles est un christiquisme perverte ou plutet
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− | à demi. compris : mais le négation de la divinité de N.S. Jesus écrest, le sabbat du Samedi, l'imparété de l'accouchs
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− | l'origine Pebraique des noms mystiques de Dieu, le sacrifice sanglant de baques, le respect dû au Pentatengues
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− | et l'ida de l'impareté contraclé par un contait physique avec un homme d'une autre secte nous ranidire
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− | farcement à conclure que si les S. ne sont pas des Juifs pursans. c'est que leur Roi a été changée par le
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− | ans, l'isolement de la mère patrie et surtout par cette insouciance de critique et de recherches qui fait
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− | le fonds de toutes les religions en Ethiopie. La religion oromo connue chez la race Gimira des Agaw comme
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− | chez les tribus A'far ou sous semitiques des Gallas ne peut être ramence qu'à la religion chrétienne
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− | dont elle diffère toutefois sous bien des rapports, et selon toutes les appasences par le manque de mes.
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− | sconnaires. Les jeunes. I à l'occasion de la canture de rerusatim par sabuchodonosor, observies avec tant de
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− | riqueur par tous les O. le respect dû à Toseph dont les traditions ont dû vivre en Egypte jusqu'à ce que le
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− | Jils de marie allat les y effacer par et les 1/2 preuves données dans la p. 25 nous amènent assez naturellement à la
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− | sapposition que des Juifs en petit nombre furaient emigré sait après la prise du Roi sidicias, soit par Aduli
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− | soit par meroe, et auraient enseigné leur foi aux tribus Agan, que la répugnance pour une langue étrangint
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− | au
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− | miamkaté par l'iancrance totale de l'Arabe et du Copthe malgré une succession de 105 satriarches dans
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