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Éthiopien d'Abbadie 266
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Version du 14/06/2021 juin 2021 09:28:31 par Mathildealain
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Version du 11/10/2021 octobre 2021 12:57:19 par Anaiswion
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Journal
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Abyssins essuyèrent une défaite sanglante au fondau dabsa. les piètons le traversent sur un poutrelle 230
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et c'est en suivant ses rives qu'on se cend au Goudjou.
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oyez 129 $ mis part mègardé ailleurs
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Seta jusque chez Gisa wardji le terrain monte et lorsde notre halte nous n'en voyions pas qui
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parut plus élivé que nous. Ce lieu semble le faite de la terrasse inégale de horro. J'ens le plaisir d'i
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observer pour la père fois l'orage se former derectement au dessus de nous. Par égard pour les
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marchands je n'osai y observer l'eau bouillanté mais le P212 doit s'y soutener à moins de 111 divisions.
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Gochs conparait ce lieu à Gera d'où l'on voit que les sources du fl. blanc sont par 100 div.
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mètres environ. le zögba ne croit plus ici mais l'audod'y atteent des demensions mageifignes
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environ ou
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La sur face du horro n'est pas unie comme celles du wagara ou du Gojam mais est partous
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brisée en collines très-basses divirées par des fondrières et des vallons presqui sans pente. c'est selon
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Göcho la phussionomie de Gera
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Gisa wardji a un grand nom parmi les Gallas parce qu'il a tué de sa main 150 guerriers environ
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la plupart Djömma. c'est un homme de haute taille, aux grands cs et à la peau rouge envre. son
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nez est aquilin et sa tête petite et ronde comme le pirâte de la criation de Coopetr. Il demeure
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dans un mourra ou enccente de dix à 12 huttes où l'on enferme les troupeaux de nuit. Cette
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construction indique et peu d'habitans et la crainte des ennemis et en effet tout horro à l'air
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D'une disert sec et frou. Gisa admira beaucoup ma cecnture de plaid écossais et je lui en fes
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cadeau car les soures de Limmou l'avaient trouée dans tous les sens. Je reçus de la main du
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heros une lance qui avait lue trois hommes. cinq ou siex guerriers entouraient gisa et avaient
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comme lui la tête beurrée signe de trophées récentes. L'un d'eux en rendant le bout de ma cuneure
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la ceta sur Gisa qui contracta le haut de sa joue avec cette expression de froide colère qui m'avait
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tant frappé chez galandj le heros de Djömma. L'un de ceshorro prit comme Ras Aly mon
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poignet a deux mains et me dit de mentirer ce que je fis aisément. une seule de mes mains suffis
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pour retenir tous ces horro sanfun qui eut la frisomption de mue difier à deux mains. Je le tires
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serri et ne le dégageai que pour leur enseigner le tourne poignet où j'étais sans rival. Cesend.
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Cer horro sont les plus musculeux, Ethiopiels que j'eusse encore tates. La beauté virile est cle
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Djömma többe, la plénitnde des Maimes chez les Södama 9 ls musèles secs et vigoureux chez
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les fils de Horro. Bien qu'il y eut plus de 200 vaches (dont beaucous, noires ce qui leut le voisinage
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du Gojam) Gisa chiche de son lait comme tous les Galla ne me donna qu'une dichante kabe que
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j'avalai d'un trait en demandant où était le reste. Le reste se trouvera en hiver, dit Gisa : notre
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pays est sec et notre lait rare. sa femme aussi buvait du lait à pleine coupe taut en disant : il
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n'G. a pas de lait chez nous. Je ne prédis pas une longne vée à Gisa.
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dechez Goa ward jurque chag Boka koche (mort de maladie 15 jours plus tard) je n'ai retenu aucun détail, du pays
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même au bout de 2 jours, tant e sont monotones les petites collines et les petites fondrières. le poy s'et peu habite et une
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bonne preuve de ceta c'est que tious achétames pour 3 à 4 pertes rouges d'inormes buches que deux hommes pouvaient à peie
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ters et il n'y a pas de foret dans tout ce pays. c'est par ici que je visprès d'une hutte ésolie et même très-isolée, comme
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toutes celles du horro, une jamille et deux nègres en occupés à egrener le coton. l'un asces nègres avait, par un jeu
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de la nature la plaie de l’œil gauche couvorte par une peuu qui ninissait sans ouverture la jou et le front.
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mais ce qui m'étonnait davantage était la petite machène de bois qui égrenait et que les Gallas avaient evidemment
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inoir où fante d'ingrenage on avait mis une maniville à chaque rouleau.
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avente.t c'était le modèté d'un lan
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cet alinéa apppatient au 7 23 mars
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Le 22 nœud descendines dancement jusqu'à un vallon telument plat que les eaux s'y arrêtent, pertout et grous y
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vinres des canards et deux herons oucaux aquectiques assez rarés dans ces pays quoiqu'en dse Alvarez pour le chawa
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au N. de ce vallon est un joté ruisseau très fangeux au que et pourvu d'un joté port. on peut remarques
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à cet égard qu'en Damot comme en kafa or ne fait un pout que la où la fange rend le coufant in abordable
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en hiver. à la tête du pont même vient une montée assez force : cette colline franchie, on retombe dans un
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autre vallon plut c.a.d. presque sans punte. je ne me ruuds pas bien compte de la sort du ruisseau précident
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va-t-il au Abay ou au Ti vasa ? Je ne perict pas pour ce dernier de fis ici une remarque qui s'appligue à
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tous les vallons des horro et des Amourou. Lu miliéle du vallon une san sagnante dessine le thalwag, au
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milien des joncs triquètres : puis vient une pronrie qui s'étend verte et rabougrie jusqu'au pied des collines
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ou la verdière s'arrite brusquement sur une puite très Douce. Ceci ne peut s'ixpliquer qu'en supposei
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le gris blanc qui est toujours plat contient un large lue à décvavert près de son ave et mouillant
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jusque près ses hives les tacints des graminées que sontiennent de minces couches de levre vigétal pros
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du detrêtes pluvial des collines pèe après ces fondrienes vient une jone source que nous longeaines sur sa
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rive gauche. le revers opposés de cette colline contient l'aucien fossé qui séparait horro et Gdjömma creusé à
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mi- lolline selon la pratique de tout le Damot. Ce fossé comme celui le Köma n'a pas plus, de 1.5 nètre de profon
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sur 2m de large environ ce qu'un pieton peut franctir aisement d'un seul bond. les fosses d'enciente de Diömme
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et dönarya ont 3m de profond sur 3.5 à 4 de large, les potits fonts indiquent moins plus de sfaine
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force qu'un manque de pouvoir pour reunir assez de travailleurs. un beau fossé est un moniment
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al aussi bien qu'une colonne où une pyramidde
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Aylyyz Boka koche (ou nom analogue) nous apprimes que pen était prisonnier chez les Amourou, et
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que si nous attions ouvrir (c.a.d. dicharger nos bêtes) devant sa porte les gens de laga djarti ne
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manquer anest pas de nous attaquer ensuite en route. o resolut done d'invoyer une femme en Amourou
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pour qu'on vent ae devant de nous. dans la journée ain Galla nous apprit que nen avait été renvoyé
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chez lui moyennant une rançon de 300 vaches ce qui fait à peu près le tiers de sa fortune. Le ♄ 22
 +
mars nous nous mimes en route et ayant franché ce qui me semblait un point de partage nous descendines
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dans le vallon de dimtou où demeure neso wakha. dans 4 fond vers l'Est est une prairie vorte en
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bas sèche en haut et contenant un ruisseau des plus simieux. neno a un front ouvert comme
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celui de D. Gwochou. Il m'offrit des vaches si je voulois demeurer près delui et me refusa du lait
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sous prétexte de lagou. Comme Choumi meta neno est très joloux de ses femmes, ce qui est rare chez
 +
si Itagnant plas haut
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les Gallas qui dans le fait  ed mettent la polyandrie dans le même clan.
 +
tous reslames un jour dans dimtou (abm de terre car ille 7 est rouge) pour envoyer un messager aux Amoi.
 +
des erratique
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paine de ι
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petite cascade car le ruissie
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et qu'il xx cele
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laissames à droite un
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rou à peine partis le 25 mars nous
 +
la vallée du angar. in des cente est brusque
 +
ar à sa source sur le daga vers
 +
troure uie forte pente dès qu'il entre
 +
dans le fond el fus agréabl.t surprès de voir que le Outs ja remarque ci- dessus sur l'affection générate
 +
vers l'ouest pour se joindre au Didesa ce qui confern
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des pentes Ethiopiennes. L'angar est peut-être la rivière notus par M. Cailland comme de joignait ari
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didesa au S.t de singue car il est difficile de ne pas édentifier le didesa avec son toumat. c'est la il.
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grosse rivière que jaie traversée entre le Godjab et le Abay. Aotre escote forro s'arreta au confluent
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des duux cours dlan et nous fimes q.q. pas seuls avant de trouver les Amourou car ces Gallas ne peudent l
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remcontrer sans en venir aux mains. 2 montée vers Amourou parait plus forte que la descnte de lerri
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et nous trouvames peu apès un cours d'eau qui va au N. W sans doute aussi au Dirdesa. Ii mourou m'a
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plrue plus virdoyant que horro et a sauf les moisons que abondent en Goudrou, tout la ply.
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sionomie des environs d'Asandabo. La hauteur du plation est d'ailleurs sensib.t la même nous.
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restames 14 jours dans Darou car la caravane de Yahya khzeir forte de près de 200 mules était
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venue et nos marchands voulaient les ms savoir les nouvelles les autres vendre et s'en retourner à
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Gouma ou Djömma. nous apprimes le 29 mars la mise de marso et d'isait-on de manan. Je donnai à
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id 2 à Mouszawwa et une
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Dasta d'Adwa un $ pour ume rapporfer un ou deux gösölla chez t
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commission aux fils de Yahya khreir pour m'en acheter la valeur de dix moy.t treute talaré à
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remettre aussi chez Moh. azzan.
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J'avais en vain priché la donne politique de se rendre à Wamet au plus vite. Enfin le zavril on
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se decida à envoyer prendre langue par Abdou de Getou. Je dis à ce dernier de ne pas depasser.
 +
wamet et en effit il revint de Abay avec la nouville artaine des victoires du D. Börrou. J'aven
 +
e partir seul pour wamet malgré le peu de confiance que m'imspivaient les
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ja presque résollé
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Amourou. en iffet ul domerique de Yatrya étant aller achater troquer des chakat ou petites
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marchandives contre du pain, reçut un coup de lance du maitre de la hutte qui prétendit l'avoir
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trouvé à causer avec ité femme. Il n'y avait dailleurs pas de temoins et le domestique resta là où
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sa blessure l'avait cloue. uautre A mourou tombame sur pos coupeurs d'hende et l'un d'en
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sclsands en disant mot
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rcent trois blessure à
 +
— es as
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y l'en même tems que les Abyssens et comme il y à 5 ans
 +
Les Galla fitèxant la Pagens.
 +
röd environ en même tems qué l'Eglise Komaine. I ne voulurent donc pas se mettre en route le jeur