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Éthiopien d'Abbadie 266
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Version du 26/11/2021 novembre 2021 20:14:03 par Dominique.harre

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Version du 09/12/2021 décembre 2021 18:03:24 par Anaiswion
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=== sur les esclaves ===
 
=== sur les esclaves ===
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dit le marchand qui était un vieillard riche et par conség.t accessible aux idées de miséricorde. Si vous n'aviez  
 
dit le marchand qui était un vieillard riche et par conség.t accessible aux idées de miséricorde. Si vous n'aviez  
 
pas été là pour m'acheter, dit l'eunuque, on n'aurait jamais porté le fer sur un enfant inoffensif  
 
pas été là pour m'acheter, dit l'eunuque, on n'aurait jamais porté le fer sur un enfant inoffensif  
comme moi. le mot fit une profonde [?]usation et le vieillard jura a qu'il n'acheterait jamais un eunuque.
+
comme moi. le mot fit une profonde sensation et le vieillard jura a qu'il n'acheterait jamais un eunuque.
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==== esclaves grandis a ====
 
==== esclaves grandis a ====
En voyage les jeuines esclaves ont toute la gaiete de l'enfance et ne sinquiètent nullement de leur sort.  
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En voyage les jeunes esclaves ont toute la gaiete de l'enfance et ne s'inquiètent nullement de leur sort.  
 
on les vole plutôt qu'ils ne s'évadent. très peu de garçons faits viennent à Baso mais on en vend beaucoup
 
on les vole plutôt qu'ils ne s'évadent. très peu de garçons faits viennent à Baso mais on en vend beaucoup
 
par l'Agabdja qui les revend au chawa. en fevrier 1844 un Goudrou allait à Baso avec un beau jeune  
 
par l'Agabdja qui les revend au chawa. en fevrier 1844 un Goudrou allait à Baso avec un beau jeune  
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de son maitre et lui perça la poitrine. Il mourut deux jours après. quant à l'esclave on le blessa
 
de son maitre et lui perça la poitrine. Il mourut deux jours après. quant à l'esclave on le blessa
 
leger.t au premier moment mais songeant à son prix on l'emmena à Baso pour l'y vendre.
 
leger.t au premier moment mais songeant à son prix on l'emmena à Baso pour l'y vendre.
 +
  
 
==== esclaves pour la boucherie b ====
 
==== esclaves pour la boucherie b ====
L'usage le. plus atroce que j'ai entendu en Ethiopie est celui de vendre des esclaves aux herto
+
 
 +
L'usage le plus atroce que j'ai entendu en Ethiopie est celui de vendre des esclaves aux herto
 
qui les tuent aussitôt qu'ils en sont maitres car un herto ne peut manger du beurre s'il n'a  
 
qui les tuent aussitôt qu'ils en sont maitres car un herto ne peut manger du beurre s'il n'a  
tué un male. plusieurs ga[?] du D. oubir ont été ainsi vendus àe Zoulla. Comma on peut le  
+
tué un male. plusieurs <u>[game?]</u> du D. oubie ont été ainsi vendus à Zoulla. Comma on peut le  
croire, l'esclave ne sait pas ce qui va lui arriver et il est à peine aupies de son maitre que celui-ci le tue
+
croire, l'esclave ne sait pas ce qui va lui arriver et il est à peine aupres de son maitre que celui-ci le tue
d'un coup de lance. un herto doit luer au moins une fois par an sans quoi il ne. mange pas de beurre.  
+
d'un coup de lance. un herto doit tuer au moins une fois par an sans quoi il ne mange pas de beurre.  
 
Les habab surtout vendent aux herto ceux des leurs dont la famille est faible ou dont les collatéraux sont morts.  
 
Les habab surtout vendent aux herto ceux des leurs dont la famille est faible ou dont les collatéraux sont morts.  
  
  
 
==== fuite d'un nègre c ====
 
==== fuite d'un nègre c ====
en avriliblis un jeune et beau Golla cellait vendre un ι
 
àe l'agé il attacha son poignet au sien
 
défiait de sa marchandise qui était un nègre dans la force
 
avec un lieu de cuir. dans le dojert de Kastamora il se baissait pour boire au ruisseau quand le nègre coupa
 
le lien avec un couteau à epènes prit la lance de son maitre lui en donna un coup dans la poitrine
 
et s'enfint. l'esclave entra prob.t chez les Gwöriza
 
  
Leut avecc bien de la raison que les moralistes Anslais de fendent d'mmême d'achiter des esclaves la
+
en avril 1845 un jeune et beau Galla allait vendre un esclave au marché de Baso. Comme il se
dès qu'on à commencé ce trafic intumain on ne sait plus où s'arriter. on vend d'abord les esclaves acheles et
+
défiait de sa marchandise qui était un nègre dans la force de l'age il attacha son poignet au sien
toujours sans s'informer de leur origine puis on vind des gens sans parens ou des pélérins ou des
+
avec un lien de cuir. dans le desert de Kalamora il se baissait pour boire au ruisseau quand le nègre coupa
voyageurs mis on vend ses parens étoignés et enfin quand le besoin presse ou que des dessensions domestiques
+
le lien avec un couteau à epines prit la lance de son maitre lui en donna un coup dans la poitrine
troublent la paix du foyer on vend ses proches parens. quelques histoires malheurensement trop vraies
+
et s'enfuit. l'esclave entra prob.t chez les Gwönza
montreront qui les marchands de choiir imaine ne respectent rien.
+
 
quant l'étais à A'ylat en avet 1841 le baghle de Msousa chafarrah alors l'un des plus riche
+
C'est avec bien de la raison que les moralistes Anglais défendent [d'même?] <u>d'acheter</u> des esclaves car
marchands de Mouszawwa' revint de l'Icide avec un enfant male qu'on y avait enlevé et
+
dès qu'on à commencé ce trafic inhumain on ne sait plus où s'arrêter. on vend d'abord les esclaves achetés et
que mon domestique Ahmedd a vu. Cet enfant aussi blanc que moi était sans doute le fils de
+
toujours sans s'informer de leur origine puis on vend des gens sans parens ou des pélerins ou des
buelque Anglais ou Iclandais, peut être des quelque pauvre soldat. on le tent caché puis on l'envoyé
+
voyageurs puis on vend ses parens éloignés et enfin quand le besoin presse ou que des dissensions domestiques
nommé sarour
+
troublent la paix du foyer on vend ses proches parens. quelques histoires malheureusement trop vraies
vendre en secret dans le N. de la mer HRoulge.  
+
montreront que les marchands de chair humaine ne respectent rien.
quelaue tems auprravant un homme dibre de Hodaydah commissionne par un
+
 
marchand du Caire vint s'établer à Mouszawwa' pour achéter de esclaves, et les expedier à
+
quant j'étais à A'ylat en aout 1841 le bⱥghle de Moussa Maafⱥrrⱥh alors l'un des plus riches
son maitre. Il avait un capital d'environ 500 5 et prit une boutique dans Bate et se
+
marchands de Mouszⱥwwa' revint de l'Inde avec un enfant male qu'on y avait enlevé et
mit à vendre. Comme il était étranger il s'édressa naturellement aus donneurs de conseils.
+
que mon domestique Ahmed a vu. Cet enfant aussi blanc que moi était sans doute le fils de
et surtout à Ahmed hinoi alors paurre et à ahmed a'ndjah ö'marmantay alors l'un
+
quelque Anglais ou Irlandais, peut être de quelque pauvre soldat. on le tint caché puis on l'envoya
 +
vendre en secret dans le N. de la mer Rouge.
 +
 
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quelque tems auparavant un homme libre de Hodaydah nommé Sⱥrour commissionné par un
 +
marchand du Caire vint s'établer à Mouszⱥwwa' pour acheter des esclaves, et les expedier à
 +
son maitre. Il avait un capital d'environ 500 $ et prit une boutique dans Baŧe et se
 +
mit à vendre. Comme il était étranger il s'adressa naturellement aux donneurs de conseils,
 +
et surtout à Ahmed hindi alors pauvre et à ahmed a'ndjah ö'mⱥrmⱥntay alors l'un
 
des plus huppés marchands de la place. ces deux fripons sous prétexte d'acheter de beaux  
 
des plus huppés marchands de la place. ces deux fripons sous prétexte d'acheter de beaux  
escaves finirent pas se partager tout le capital de Sarour, puis ils le déclarèrent esclave et
+
esclaves finirent pas se partager tout le capital de Sⱥrour. puis ils le déclarèrent esclave et
voueuret l'expedier pour dj'iddah. Sarour qui voulait achetér de esclarées se voyant au moment
+
voulurent l'expedier pour Dj'iddah. Sⱥrour qui voulait acheter de esclaves se voyant au moment
d'être vendu enaya' en vain de voir le gouverneur etf se voyant sans amis se jeta à la naye un
+
d'être vendu essaya en vain de voir le gouverneur et se voyant sans amis se jeta à la nage un
soir atteignit une barme en partince pour Hodaydah et cerriva chez lui sans autre. vêtement.  
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soir atteignit une barque en partance pour Hodⱥydⱥh et arriva chez lui sans autre vêtement  
Le nommé 5 marabbasi mort pauvre fesait un commerce enore pratique aujourd pui
+
qu'une méchante ceinture.  
qu'une ne taute ceinture.  
+
 
toutes les barques de Mouszawwa' partent le soir ordin.t à la nuit close alors ömarnamassait
+
Le nommé o'mⱥr abbasi mort pauvre fesait un commerce encore pratiqué aujourd'hui.
sur le port tous les pauvres enfans venus pous manger des sadaka ffestin des morts), et les
+
toutes les barques de Mouszⱥwwa' partent le soir ordin.t à la nuit close alors ömar ramassait
embarquait pêle. mêêle sans crainte car les pauvres n'ont pas de parens qui songent à les
+
sur le port tous les pauvres enfans venus pour manger des <u>sadaka</u> (festin des morts), et les
cet ahnied à ndja. vendit pour son compte deux esclaves achètés pour le malheureux
+
embarquait pêle-mêle sans crainte car les pauvres n'ont pas de parens qui songent à les
 
réclamer.
 
réclamer.
Sarour mais je l'ai vu de mies yeux d'abord richer aujourd'hui pauvre. Il vendit mon un.
+
 
formateur Jhmede sous prétixle de l'engager comme mousse à son bord. Ahmèdo est
+
Cet ahmed a' ndja. vendit pour son compte deux esclaves achetés pour le malheureux
fils d'un morchand de hit bien connu à Bsaté et quoique dies- pauvre ile se nombreux  
+
Sⱥrour mais je l'ai vu de mes yeux d'abord riche aujourd'hui pauvre. Il vendit mon  
parens dans Zoulla. Dis qu'il fut engage il alla naturillendent en parler à ses oncles. leux-ci en
+
informateur Ahmed sous pretexte de l'engager comme mousse à son bord. Ahmed est
aepressant que Ahmed hendi était l'entremetteur cellèrent quistionner le patron de la berque
+
fils d'un marchand de lait bien connu à Baŧé et quoique tres- pauvre il a de nombreux  
qui prétextant son ignorance les rewvoya à A. hnied a'ndja. Celui-ci ma avvir engagé
+
parens dans Zoulla. Dès qu'il fut engagé il alla naturellement en parler à ses oncles. Ceux-ci en
A hmedo et donna le dementé à tous les temoins. Le crime resta impani et Atnèdo se
+
apprenant que Ahmed hindi était l'entremetteur allèrent questionner le patron de la barque
ont trop habile et surtout trop heureux en restant chez lui. Il n'avait pas dru devoir se
+
qui prétextant son ignorance les renvoya à Ahmed a'ndja. Celui-ci nia avoir engagé
décier de cet Ahnied hende car auparavant il lui avait drocure un bon maitre A
+
Ahmed et donna le démenti à tous les témoins. Le crime resta impuni et Ahmed se
L
+
crut trop habile et surtout trop heureux en restant chez lui. Il n'avait pas cru devoir se
kilmayer officier allemand mort plus tard dans le pays des Adal. Almèdo le servit jusqu'à
+
défier de cet Ahmed hindi car auparavant il lui avait procure un bon maitre Mr
Ljid dah reçut des gages et en attendtant son retour cella loger chez un frave, homme  
+
Kilmayer officier allemand mort plus tard dans le pays des Ada'l. Ahmed le servit jusqu'à
nommé 0 mar nachar. un jour desqu'ihmeds. l'accompsagna au marchés, il leui dit de
+
Djiddah reçut ses gages et en attendant son retour alla loger chez un brave homme  
l'attendre un instant et peu apsès un marchand vint dire à Ahmaddo qu'Amar lui
+
nommé ômar nⱥchar. un jour qu'Ahmed l'accompagna au marché, il lui dit de
fesait dire de venir ale plutôt. le paurre garçon le crut et fut introduît dans l'étage  
+
l'attendre un instant et peu après un marchand vint dire à Ahmad qu'Omⱥr lui
supérieur d'un belle maison où on lui servit à manger et où il attendit long-tems. ils
+
fesait dire de venir au plutôt. le pauvre garçon le crut et fut introduit dans l'étage  
la fin comme il ingistait pour 'en aller car il parlait Arabe le marchand prit sans
+
supérieur d'un belle maison où on lui servit à manger et où il attendit long-tems. A
ciramonie ue corde pour l'attacher. Ahmido poussa de houts cris et comme les voisins
+
la fin comme il insistait pour s'en aller car il parlait Arabe, le marchand prit sans
alarmes vinosent demander de quoi il s'agissait le rusé courtier de chair humaine
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cérémonie une corde pour l'attacher. Ahmed poussa de hauts cris et comme les voisins
repondit qu'il allait battre. un esclave qui l'avait note. c'en était fait de la liberté du!
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alarmés vinrent demander de quoi il s'agissait le rusé courtier de chair humaine
pauvre enfant de zoiilla si ömar : nachas alarmé de son absence et le suivant à la
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repondit qu'il allait battre un esclave qui l'avait volé. c'en était fait de la liberté du  
piste de rue en rue ne se fut introdiit dans la maison à la faveur du tumulte. Il près
+
pauvre enfant de Zoulla si ömⱥr nⱥchas alarmé de son absence et le suivant à la
aussitôt, les voisons à témoin, jur a par le Dien vivont qu'on ne lui volait pas son hote
+
piste de rue en rue ne se fut introduit dans la maison à la faveur du tumulte. Il prit
imsunement et somma. le vobir de le suivre chez le gouverneur de Djiddah. Selon  
+
aussitôt les voisins à témoin, jura par le Dieu vivant qu'on ne lui volait pas son hôte
l'usage de tout l'orient les assistans le supplièrent de ne pas perdre le nmaitre du loges.
+
impunément et somma le voleur de le suivre chez le gouverneur de Djiddah. Selon  
et cahime la justice est venate dans Djiddah ömar se laissa dessuader anniena son
+
l'usage de tout l'Orient les assistans le supplièrent de ne pas perdre le maitre du logis
jeune note et se hata le l'embarquer pour Mouszawwa' où peu de mois après i entra
+
et comme la justice est venale dans Djiddah ömⱥr se laissa dissuader ammena son
haysa Atafarrah qui de même qu'Ained. a'idja est tombé dans la pauvreté par cette
+
jeune hote et se hȃta le l'embarquer pour Mouszⱥwwa' où peu de mois après il entra
 
dans mon service.
 
dans mon service.
rétribution divine. qui n'éprropies jamdis les pernères eousa des je avant un frère rche 242
 
comme lui et qui mourut laissant un enfant fils mineur. Mousa qui était lu leur s'appropriant
 
le bien de son neveu clui-ci quoiqu'à peine agé de dix ans assembla ses parans sans criir
 
garé et Somma son tuteur de lui rrendre compte de sa propriété. Mousa devinula, fit
 
une réponse fort convinable et quelques jours après ambarqua, son neveu comme esclave
 
pour Djiddah où les pareus que lle filent cherchir ont complètement perdu sa trace.
 
Comme Mouszawwa' rit en grande partie de ces deuvres de combales on nérend.
 
pas justice même dans des affaires. Les. plus clairement odieuses. Housa fils du choumu.
 
A'bdallah avait l'un des hommes les plus riches et les plus influens de Toulla avait an
 
fils jeune beuu intalligend et aussi rouge que sa mère qui est de la tribu des Hazzo. A
 
cause de sa grande caracité le vrayb hasen le chargea de présus pour solticiter ζ 
 
Djiddah sa nominction au porte des Aayb. Le messager n'ayant pas reussi. ecit honte
 
de s'en retourner les mains viles et l'engagea comme maletot pour yaube. c'est du
 
mojns ce ques raconta un marchand qui le vit iu service d'un barbier et qui apprit
 
de lui qu'il ne lui était pas possible de s'en retourner à oulla. Le père demanda: à
 
Dannndt pation de la barque ce qui'était devenu le jeune homme et Daond repondil
 
h a pln on n'e laeu
 
  
koafon teua
+
Mousa Mafⱥrrah qui de même qu'Ahmed. a'mdja est tombé dans la pauvreté par cette
 +
rétribution divine qui n'épargna jamais les pervers Mousa dis-je avait un frère [illisible]
 +
comme lui et qui mourut laissant un <s>enfant</s> fils mineur. Mousa qui était tuteur s'appropriant alors
 +
le bien de son neveu celui-ci quoiqu'à peine agé de dix ans assembla ses parens sans crier
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gare et somma son tuteur de lui rendre compte de sa propriété. Mousa dissimula, fit
 +
une réponse fort convenable et quelques jours après embarqua son neveu comme esclave
 +
pour Djiddah où les parens qui le firent chercher ont complètement perdu sa trace.
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Comme Mouszⱥwwa' vit en grande partie de ces oeuvres de cannibale on ne rend
 +
pas justice même dans des affaires les plus clairement odieuses. Mousa fils du [choum?]
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A'bdallah <s>avait</s> l'un des hommes les plus riches et les plus influens de Zoulla avait un
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fils jeune beau intelligent et aussi rouge que sa mère qui est de la tribu des Atazzo. A
 +
cause de sa grande capacité le Nayb hasen le chargea de présens pour solliciter à
 +
Djiddah sa nomination au poste de Nayb. Le messager n'ayant pas reussi.. eut honte
 +
de s'en retourner les mains vides et s'engagea comme matelot pour yⱥnbé. c'est du
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moins ce que raconta un marchand qui le vit au service d'un barbier et qui apprit
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de lui qu'il ne lui était pas possible de s'en retourner à Zoulla. Le père demanda à
 +
Daoud patron de la barque ce qu'était devenu le jeune homme et Daoud répondit