Page créée avec « s'est abstenu de s'enivrer comme chaque dimanche. Il est maçon de son métier. Il est originaire de Pluzunet. Il est complètement illettré : il a cependant appris tout... »
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s'est abstenu de s'enivrer comme chaque | s'est abstenu de s'enivrer comme chaque | ||
dimanche. Il est maçon de son métier. Il est | dimanche. Il est maçon de son métier. Il est | ||
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un peu de français. | un peu de français. | ||
− | C'est à l'âge de 18 ans qu'à Pluzunet | + | C'est à l'âge de 18 ans qu'à Pluzunet il |
commença à se passionner pour le théâtre | commença à se passionner pour le théâtre | ||
populaire. On jouait la comédie sans cesse | populaire. On jouait la comédie sans cesse | ||
− | à Pluzunet à cette époque. Les vieux | + | à Pluzunet à cette époque. Les vieux "comédiancher" |
d'alors étaient Le Houaren et surtout | d'alors étaient Le Houaren et surtout | ||
− | Jean | + | Jean Guélou. Il était venu à Pluzunet |
− | de | + | de Pedernec ; il était charpentier de son |
métier et était venu s'installer au Loc. | métier et était venu s'installer au Loc. | ||
Il était fou de tragédie. Ce fut lui qui ranima | Il était fou de tragédie. Ce fut lui qui ranima | ||
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Il y avait encore un certain Ménager, Jean | Il y avait encore un certain Ménager, Jean | ||
Le Ménager, le père de Bertrand ; il était | Le Ménager, le père de Bertrand ; il était | ||
− | + | fournier à Pluzunet : il était antérieur à | |
− | + | Guélou, mais ils se lièrent tous deux. | |
Il est question de lui dans le prologue de | Il est question de lui dans le prologue de | ||
Sainte-Triphine. Ce furent les deux metteurs | Sainte-Triphine. Ce furent les deux metteurs | ||
− | en train. Jean | + | en train. Jean Guélou avait connu le |
monde, il avait assisté à des représentations | monde, il avait assisté à des représentations |