Page créée avec « 114 sa lutte épique contre le curé, à propos de l'ouverture de la maison des sœurs, puis à propos des bancs qu'on lui refusait à l'église. Marianna confirme et év... »
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sa lutte épique contre le curé, à propos | sa lutte épique contre le curé, à propos | ||
de l'ouverture de la maison des sœurs, | de l'ouverture de la maison des sœurs, | ||
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d'aimer et de respecter leurs maîtres » | d'aimer et de respecter leurs maîtres » | ||
— « Je ne vous donnerai pas l'absolution » | — « Je ne vous donnerai pas l'absolution » | ||
− | lui dit le recteur. Soit, répondit-elle, | + | lui dit le recteur. « Soit, répondit-elle, |
mais quand il vous plaira de | mais quand il vous plaira de | ||
me la donner, vous viendrez me chercher | me la donner, vous viendrez me chercher | ||
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si elle ne voudrait pas retourner au | si elle ne voudrait pas retourner au | ||
milieu d'eux. | milieu d'eux. | ||
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+ | Après Anna, c'est le tour d'Emile qui | ||
+ | me raconte toute la triste vie que lui a | ||
+ | fait mener sa femme, avec la complicité | ||
+ | de sa belle-mère. Il paraît qu'un | ||
+ | jour elle se précipita par la fenêtre, étant | ||
+ | soûle. Mais quand Emile descendit | ||
+ | la relever, elle avait à peine une légère | ||
+ | écorchure au bras. Une autre personne | ||
+ | se serait rompu les os. Toute cette soirée | ||
+ | me laisse un ineffaçable souvenir. Il y | ||
+ | aurait un livre passionnant à écrire | ||
+ | avec les histoires d'Anna à Spézet. Ce serait |