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=== Journal 1.er janvier 1844 Djören ===
 
=== Journal 1.er janvier 1844 Djören ===
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Journal jer janvier 1844 3 joren
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partie du monde. — mais sais-tu faire ce
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de la dementir et je répondis : oni cela a tré fait dans mo
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miracle toi-même— J'ai les mêmes mossens qqu ceux qui l'ont fait et avec l'aide de Dieu j'ai la confiances
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de reussir — as-te vie mes chiens royaux (gouchölla ses Abyssin) ?— de loin seul— nagadras porte ici.
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les gà chiens de l'empire— Deus serviteurs vinrent tenant enveloppés dans leurs bras chacun un paquet envelospe.
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de toile neuve et grossière. le n. ras qui est le trésorier du palais étendit un petit tapis de sou rouge et posa
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dessus ces antiques emblèmes de la royante Ethiiopienne. Je ne piès m'empêcher de lui dire en Almorma
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mais c'est du cuivre janne et nou de l'or— oui mais celui-ci à le corps en aroent et les oreilles en or fui
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Ces deux petits monstres doyaux sont longs de 21/2 décimètres, hauts en proportion et le chien de euivre parait avoir
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été fondu : celui d'argent est en feuilles minces repoussées les pieds sont de gros ciluidres qui firaient hon
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-aeur à des hippopotanées, les queues courtes sont relevées et le têtes, sauf leurs greillons de tours pourraient
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être la celles de n'importe quel quadrupède. Sur les dos sont des poignées comme si les modèles primitifs
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avaient été coulis massifs. un artiste södama avait construit ces deux petits monstres et je ne manquai
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pas de dire au Roi que c'étaient les plus rarès creatures de kafa assertion qui parut faire pllaisir à tout :
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monde— Ensuite on ne servit une corne d'eau mieillée comple celle profilée ci. dissses. Après l'avoir vidé 102à
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à 1/2 j'essayai en vain de la faire tenir debout contre l'un des piliers sipuleraux mi- parti blanc et
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noir et plati planche comme les eetourages de la maison d'abba bagibo.— C'est l'usage en Kafa
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de vider la coupe devant le Roi, me dit ce dernier tout en ajoutant un Ardre pour un repas de Kot3 mais
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il se reprit et demanda. ce que je mangeais— lait et froment— nous n'avons ni l'un ni l'autre
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dit 5 ï à 1/2 voix. pauvre enifine Rosale : la cdopr o corne coupe presque brute me fit conclure
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que les galles gros bonnets du kafa boivent ainsi mais j'ai vu plus tard de jolies coupes de corms de
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butf le faites au tour et consacrées epilus.t au beurre.
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koullo & Gobo me doivent, selon mes droits imprescrittibles un tribut en toiles : tous deux ont
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dernièrement refusé de le donner dit S. p. me seront-ils plus soumis à l'avenir ou bien comment
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pourrai je les y forier ?— caressez les marchands, qu'ils vous apportent des fusils et vous aurez raison de
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koullo. quant à lobo je n'en sais rien - parle parle tu as juie de me dire tout bon où mauvais—
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je jurai par le Chርgη
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oui mais non pas de vous dire ce que je ne sais pas jure-moi que tu ne sais pas
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Evl - sais tu faire des fusils— je ne sais pas— iure-moi que tu ne sais pas — je jurai encore moutre
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moi la chose qui parle (mon chronomètre) — Je le montrai et à ma gr. mortification le Roi voulut abs.
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le prendre dans ses mains ce que je n'osai refaser. —a-t-il une ame— non qui l'a fait ? — les ouvriers de
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mon pays — sais-tu le saire ?— je ne sais pas — jure-moi que tu ne sais pas — j'appelai donc les matedic.
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tions de l'fncavርe sur me tête si j'avais fait apprentissage d'horloger — sais-tu l'ouvrir j'ourri
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un boitier — sais-tée ouvrir l'autre ? - je ne sais pas - jure que tu ne sais pas— ici le souvenir du 2e comm
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mand.t m'arrêta tout court. votre pr. ignore que je ne suis pas ouvrier forgeron. comment sais-je
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ces choses-là. le Roi me fit grace du sonnent cette fois ci mais je ne nis m'empicher de peuser
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que le Roi le plus défiant et le plus trompé de toute la terre pouvait seul mi fain préter six
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sormens dans lu seul jour plus que je n'avais prétés dans toute ma vie. — Tous autres étrangers, dit le
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du marché de djören 85° sur le masara.
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Roi, fugez d'un pays par la 1ère impression. Si vous mangez bien toute la nation est
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♄7 6 janvie
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03 ruirs à gauche charmante : si vous jeunez, elle est définitev.t détestable et rien ensuite en peut voys
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faire revenir — T. M. sait tout : nourrie dans l'exerace du pouvoir elle à un esp.
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0.6 i9 étang foret) asses argenieux et assez varte nour deviner les sensations des pauvres et des
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0.5 kansi à'gauhe étrangers. J'avais ouve d'ajouter : et moi ausse j'ai nassé deux jours de jeune
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0.8 fin de lan al
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1.4 bolölar?) (a dr) force devant les galettes de koto que N. M. nous donnait se génésens.t mais
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plus on jeune en Ethiopie plus il est honteux de dire qu'on a en fain. de
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sorte que je supprimai une observation qui m'aurait ravalé à l'éta.
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0.4 ruiss. à Xr
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0.4 köftan
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d'esclave. 9. M. jouait avec sept beaux rêtrons et me les envoya - 6 enisse
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4.6 à e milles
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à fond me dit l'interprète et je fis une kyrielle de voux tets que si le
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bon Dien en éxance là 1/2 S. N. de kafa n'aura rien à envier au Roi des Fsrancas. le
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coquin de drogman rendait mes phrases avec jou et prestesse et je ne près m'empêcher de
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peuser que les interprêtes de Gaclhafot comme ceux de 2 $ ne sont jamais aussi par faits
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que lorsqu'ils disent des complimens à leur maitre. Par toute la terre les courtisans sond jatis
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dans le même moule.
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Le jour était bien avance quand S.M. m'axpela près d'elle paur me montrer les paumes
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de ses mains non sans m'avoir préal.t fait dire ainsi la bonne aventure à 1es 4 aide
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camp. 1. ou stigmatisai un comme gourmhane (je ne savais où ne voulais dire gourmet) et l'on
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rit ele disant que j'avais devine. 3. M. sourit et montré ses belles dents puis les consueta
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a la tabatière à miroir mais comme tous les Ethiopiens personne ne rit tout haut. Se
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Alacai assez près pour toucher les mains Royales mais le préjugé s'opposait à ce que j'en
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vinzse la voici sa chiromanée : liome le vie profonde et longée de 80 à 100 ans. ligne
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de foi brisée mais marquée partout. De ce trianale sur le mont de venus : point de
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riènes predisant des cufans. mais l'anneau Royal avait use la peau ce que ce remarquai
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pour epluser mon sélence. table pleine de croix. grande croix sur le N.t de ♃. deux
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couques lignes sur le mont de C allant vers la jonction des ligères de vie et de foie.
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liqnes de voyages vers les razettes. Je dis que s.ps. aueait un règne long et beaucoup de
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déplaisir de lel conduite d'un de ses enfans. Elle fera bien d'égorger des cogz mais je
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crains quil ne soit honteux de le dire— non non dit le drogman et ce das ensuite qui
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le cog est le mets de predilection des Södama. Je m'étais a ccrouma à l'Ethiopienne. Je ne
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levai enfin et regardai le chasse mouches qui est une queue de buffle attachée à une
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vaine de 3 décimètres  or ou dorie — qu'est cela disije en montrant ce qui un semblait
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id un vrai saptre fait d'une seule pièce de bois, terminée au tour par une sphère et
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peint de janne et rouge comme les joujoux de nos foires— c'est le (le nom m'échappe) :
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on le porte partout où le Roi va et il fait peur aux me chans. (quelle est l'origine
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ou sceptre ? serait-il Ethiopient?) Au moment où je pastais, prends cela dit le Roi en
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disignant le cuir sur lequel je m'étais assis. on donne don des souveurs d'audience au
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kafa et je songlais et ie songeai à ceux de S. Sainteté, de j0 lies médailles d'argent.
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voici dit S. M. le daggo( guide passéport) qui te mènera jusqu'au Godjab. Je nie puis pas y
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alter moi-même ainsi il me dira par ces yeux que tu estraverse notre rivière a pied
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sec car igtiens à constater cette merveille— Le mensonge ne sert a rien dans aucine pays
 +
oe monde, me dis-je mais pour me tirer d'embarras : — je ferai tout ce qui le Roi descre
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je deveserai même le Godjab mais cela violera la virginité de ses frontières, les öromo
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les franchiront et j'en serai toute ma vie encore plus desolé que N. M. Ce méracle là
 +
n'ajamais été fait que par des gens qui voulaint s'échasser du pays contre la votonté du
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sonvirain — s'il est mauvais pour mon kafa, ne le fais pas ce que je prosis de tout moncour
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mais jusqu'auj. bien des Galla affirment que je ne serais pas sorte du Kafa si je
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j'avais coupe le Godjab comme avec un touteau. — ma mère vent voir la chose qui parle
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(la montre)— de ne la confierai à personne— que celui-ci )l'un des ambassadeurs) le preune à son
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cil et s'il le casse je te fais cadean de sa persomne comme esclave expedient auquel je
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donner le petit noir cafatd à houis Brequet à comme equivalent
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consentes en me promettout
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6 garde cems rêvent en bonne santé.
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m'avait prête. mais
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de l'excellent chronomètre qu'i
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le lend ernain on m'appibe de bonne heure au masara où on nous servit de l'hydromel afr
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Salul et 4 eoutuans me dimaudirent leur bone avcbtudre dbru
 +
dais au

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Journal 1.er janvier 1844 Djören[modifier]

212 Journal jer janvier 1844 3 joren 110 partie du monde. — mais sais-tu faire ce de la dementir et je répondis : oni cela a tré fait dans mo miracle toi-même— J'ai les mêmes mossens qqu ceux qui l'ont fait et avec l'aide de Dieu j'ai la confiances de reussir — as-te vie mes chiens royaux (gouchölla ses Abyssin) ?— de loin seul— nagadras porte ici. 1β les gà chiens de l'empire— Deus serviteurs vinrent tenant enveloppés dans leurs bras chacun un paquet envelospe. de toile neuve et grossière. le n. ras qui est le trésorier du palais étendit un petit tapis de sou rouge et posa dessus ces antiques emblèmes de la royante Ethiiopienne. Je ne piès m'empêcher de lui dire en Almorma mais c'est du cuivre janne et nou de l'or— oui mais celui-ci à le corps en aroent et les oreilles en or fui Ces deux petits monstres doyaux sont longs de 21/2 décimètres, hauts en proportion et le chien de euivre parait avoir été fondu : celui d'argent est en feuilles minces repoussées les pieds sont de gros ciluidres qui firaient hon -aeur à des hippopotanées, les queues courtes sont relevées et le têtes, sauf leurs greillons de tours pourraient être la celles de n'importe quel quadrupède. Sur les dos sont des poignées comme si les modèles primitifs avaient été coulis massifs. un artiste södama avait construit ces deux petits monstres et je ne manquai pas de dire au Roi que c'étaient les plus rarès creatures de kafa assertion qui parut faire pllaisir à tout : monde— Ensuite on ne servit une corne d'eau mieillée comple celle profilée ci. dissses. Après l'avoir vidé 102à à 1/2 j'essayai en vain de la faire tenir debout contre l'un des piliers sipuleraux mi- parti blanc et noir et plati planche comme les eetourages de la maison d'abba bagibo.— C'est l'usage en Kafa de vider la coupe devant le Roi, me dit ce dernier tout en ajoutant un Ardre pour un repas de Kot3 mais il se reprit et demanda. ce que je mangeais— lait et froment— nous n'avons ni l'un ni l'autre dit 5 ï à 1/2 voix. pauvre enifine Rosale : la cdopr o corne coupe presque brute me fit conclure que les galles gros bonnets du kafa boivent ainsi mais j'ai vu plus tard de jolies coupes de corms de butf le faites au tour et consacrées epilus.t au beurre. koullo & Gobo me doivent, selon mes droits imprescrittibles un tribut en toiles : tous deux ont dernièrement refusé de le donner dit S. p. me seront-ils plus soumis à l'avenir ou bien comment pourrai je les y forier ?— caressez les marchands, qu'ils vous apportent des fusils et vous aurez raison de koullo. quant à lobo je n'en sais rien - parle parle tu as juie de me dire tout bon où mauvais— je jurai par le Chርgη oui mais non pas de vous dire ce que je ne sais pas jure-moi que tu ne sais pas Evl - sais tu faire des fusils— je ne sais pas— iure-moi que tu ne sais pas — je jurai encore moutre moi la chose qui parle (mon chronomètre) — Je le montrai et à ma gr. mortification le Roi voulut abs. le prendre dans ses mains ce que je n'osai refaser. —a-t-il une ame— non qui l'a fait ? — les ouvriers de mon pays — sais-tu le saire ?— je ne sais pas — jure-moi que tu ne sais pas — j'appelai donc les matedic. tions de l'fncavርe sur me tête si j'avais fait apprentissage d'horloger — sais-tu l'ouvrir j'ourri un boitier — sais-tée ouvrir l'autre ? - je ne sais pas - jure que tu ne sais pas— ici le souvenir du 2e comm mand.t m'arrêta tout court. votre pr. ignore que je ne suis pas ouvrier forgeron. comment sais-je ces choses-là. le Roi me fit grace du sonnent cette fois ci mais je ne nis m'empicher de peuser que le Roi le plus défiant et le plus trompé de toute la terre pouvait seul mi fain préter six sormens dans lu seul jour plus que je n'avais prétés dans toute ma vie. — Tous autres étrangers, dit le du marché de djören 85° sur le masara. Roi, fugez d'un pays par la 1ère impression. Si vous mangez bien toute la nation est ♄7 6 janvie Bayr 03 ruirs à gauche charmante : si vous jeunez, elle est définitev.t détestable et rien ensuite en peut voys 00 djoren faire revenir — T. M. sait tout : nourrie dans l'exerace du pouvoir elle à un esp. 0.2 iids 0.6 i9 étang foret) asses argenieux et assez varte nour deviner les sensations des pauvres et des 0.5 kansi à'gauhe étrangers. J'avais ouve d'ajouter : et moi ausse j'ai nassé deux jours de jeune 0.8 fin de lan al 1.4 bolölar?) (a dr) force devant les galettes de koto que N. M. nous donnait se génésens.t mais plus on jeune en Ethiopie plus il est honteux de dire qu'on a en fain. de sorte que je supprimai une observation qui m'aurait ravalé à l'éta. 0.4 ruiss. à Xr 0.4 köftan d'esclave. 9. M. jouait avec sept beaux rêtrons et me les envoya - 6 enisse 4.6 à e milles à fond me dit l'interprète et je fis une kyrielle de voux tets que si le bon Dien en éxance là 1/2 S. N. de kafa n'aura rien à envier au Roi des Fsrancas. le coquin de drogman rendait mes phrases avec jou et prestesse et je ne près m'empêcher de peuser que les interprêtes de Gaclhafot comme ceux de 2 $ ne sont jamais aussi par faits que lorsqu'ils disent des complimens à leur maitre. Par toute la terre les courtisans sond jatis dans le même moule. Le jour était bien avance quand S.M. m'axpela près d'elle paur me montrer les paumes de ses mains non sans m'avoir préal.t fait dire ainsi la bonne aventure à 1es 4 aide camp. 1. ou stigmatisai un comme gourmhane (je ne savais où ne voulais dire gourmet) et l'on rit ele disant que j'avais devine. 3. M. sourit et montré ses belles dents puis les consueta a la tabatière à miroir mais comme tous les Ethiopiens personne ne rit tout haut. Se Alacai assez près pour toucher les mains Royales mais le préjugé s'opposait à ce que j'en vinzse la voici sa chiromanée : liome le vie profonde et longée de 80 à 100 ans. ligne de foi brisée mais marquée partout. De ce trianale sur le mont de venus : point de riènes predisant des cufans. mais l'anneau Royal avait use la peau ce que ce remarquai pour epluser mon sélence. table pleine de croix. grande croix sur le N.t de ♃. deux couques lignes sur le mont de C allant vers la jonction des ligères de vie et de foie. liqnes de voyages vers les razettes. Je dis que s.ps. aueait un règne long et beaucoup de déplaisir de lel conduite d'un de ses enfans. Elle fera bien d'égorger des cogz mais je crains quil ne soit honteux de le dire— non non dit le drogman et ce das ensuite qui le cog est le mets de predilection des Södama. Je m'étais a ccrouma à l'Ethiopienne. Je ne levai enfin et regardai le chasse mouches qui est une queue de buffle attachée à une vaine de 3 décimètres or ou dorie — qu'est cela disije en montrant ce qui un semblait id un vrai saptre fait d'une seule pièce de bois, terminée au tour par une sphère et peint de janne et rouge comme les joujoux de nos foires— c'est le (le nom m'échappe) : on le porte partout où le Roi va et il fait peur aux me chans. (quelle est l'origine ou sceptre ? serait-il Ethiopient?) Au moment où je pastais, prends cela dit le Roi en disignant le cuir sur lequel je m'étais assis. on donne don des souveurs d'audience au kafa et je songlais et ie songeai à ceux de S. Sainteté, de j0 lies médailles d'argent. voici dit S. M. le daggo( guide passéport) qui te mènera jusqu'au Godjab. Je nie puis pas y alter moi-même ainsi il me dira par ces yeux que tu estraverse notre rivière a pied sec car igtiens à constater cette merveille— Le mensonge ne sert a rien dans aucine pays oe monde, me dis-je mais pour me tirer d'embarras : — je ferai tout ce qui le Roi descre je deveserai même le Godjab mais cela violera la virginité de ses frontières, les öromo les franchiront et j'en serai toute ma vie encore plus desolé que N. M. Ce méracle là n'ajamais été fait que par des gens qui voulaint s'échasser du pays contre la votonté du sonvirain — s'il est mauvais pour mon kafa, ne le fais pas ce que je prosis de tout moncour mais jusqu'auj. bien des Galla affirment que je ne serais pas sorte du Kafa si je j'avais coupe le Godjab comme avec un touteau. — ma mère vent voir la chose qui parle (la montre)— de ne la confierai à personne— que celui-ci )l'un des ambassadeurs) le preune à son cil et s'il le casse je te fais cadean de sa persomne comme esclave expedient auquel je donner le petit noir cafatd à houis Brequet à comme equivalent consentes en me promettout 6 garde cems rêvent en bonne santé. m'avait prête. mais de l'excellent chronomètre qu'i le lend ernain on m'appibe de bonne heure au masara où on nous servit de l'hydromel afr Salul et 4 eoutuans me dimaudirent leur bone avcbtudre dbru dais au