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et remplie de fentes profondes. j'introduisis dans l'une d'elles une baguette de 1/2 mètre sans
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atteindre le fond. la largeur était de 8 à 10 centim. à la surface. on m'assura avoir fouillé
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à plus d'un mètre pour retirer un objet précieux tombé dans une de ces fentes. Elles gènent
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la cavalerie mais moins que je ne l'aurais cru.
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==== circoncision b ====
 
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Au passage du Göbe je vis encore un grand nombre de Gallas nus et pus bien me convaincre que la circoncision
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n'est pas pratiquée par eux. plusieurs avaient ramené le prepuce au delà du gland pour l'attacher à leur
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gourda. presque tous avaient chair de poule, après deux trajets et leurs testicules étaient remontes au haut
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des anneaux luguinaux chose que je n'observais pas chez les Amaras que je vis passer nus.
  
  
 
==== perfide conduite des marchands c  ====
 
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Le lieu où nous entrames appartient à Lofe mais les gens de Leka l'ont occupé. on le nomme hindi et
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non lofe comme je l'ai dit en tête de cette page. Abba Bagibo qui aime à avoir affaire à des Rois donna
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une de ses filles au plus gros Galla de Leka qui en conséquence commenca à ordonner tuer etc comme
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Abba Bagibo mais la plupart de ses sujets se revolta ainsi que son frère Dilbo ayanso qui reste à hindi
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est le gofta des marchands et se fait si gros qu'il ne sort jamais de chez lui à pied, et ne vint pas
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une seule fois au mⱥdⱥbbⱥr. sa toge avait plus de noir que je n'en avais encore vu et la toile
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originale ne se reconnaissait plus que par a lisières blanches qui serpentaient de haut en bas.
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Le 8 juillet Getou et la plupart des siens devant partir pour le k'walla afin de se rendre en
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Djömma, les marchands s'assemblèrent et poussés par le frère de Getou et surtout par hasen habib
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ils résolurent d'ouvrir mes effets. La surveille ils m'avaient déja envoyé promener quand je
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voulus être présent à la répartition du fⱥsⱥs du Göbe pour lequel on m'avait taxé arbitr.t
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à 3$. Auj. les principaux en cercle sur l'herbe humide m'appelèrent pour me dire d'un ton d'autorité
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de donner 8$ ou de montrer ce que j'avais dans mes outres. un pauvre chrétien de Gondⱥr qu'on ne
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soupçonnait pas mais qui causait avec moi le soir au feu de mes gens me prevint de la chose et en
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conséquence j'otai de mes sacs 49 $. j'y laissai tout l'argent qui me restait c.a.d. 12$. Je
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donnai les 49$ à mon domestique محمد علي et lui dis que si on le découvrait il pourrait déclarer
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avec verité que cet argent lui appartenait. Après avoir entendu l'ordre de la caravane dit
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جمع par les Abyssins je demandai à محمد جميل si cette singulière décision était la sienne ou
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non car dis-je je n'ai d'ami ici que vous. محمد جميل qui tenait aux cadeaux que je lui avais
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promis mais qui est un peureux au moral fit un assez long discours ou il s'embrouilla
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beaucoup sans rien dire et finit par déclarer que pour certaines affaires de la caravane
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il n'y a pas de nⱥgad ras puisque celui-ci n'a que son vote et est entrainé par celui des autres. mainten.t
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repris-je que je suis deserte par le seul ami auquel je croyais pouvoir me fier, il me reste trois chemins, l'un
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de vous montrer mes effets et d'exiger d'etre taxé au prorata comme le reste de la caravane si tant
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est qu'il vous reste un brin des justice. l'autre est de prendre mes effets et de m'en aller tout seul. vous
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n'avez jamais vu de blanc dans ce pays et ne savez pas comment les Galla me recevront si je suis seul:
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moi au contraire j'ai appris par mes livres bien des choses que vous ne savez pas. En Goudrou deux des
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principaux me dirent de m'en aller tout seul et de m'adresser à tel et à tel en route au lieu de
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m'enfermer contre ma dignité dans un misérable mⱥdⱥbbⱥr avec des marchands. Je ferais donc
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mieux de m'en aller mais je veux auparavant vous dire comment m'a traite votre nⱥgad ras Getou. A
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Kobbo lui et محمد جميل m'appelèrent et ce dernier ayant déclaré qu'il n'avait pour moi ni toiles noires
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ni autre chⱥkⱥt de prȇt, Getou dit qu'il ¨me prȇterait dix de ces toiles pour être repayé dans önarya
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comme je ne connais pas les affaires des marchands j'opinai du bonnet à tout ce qu'ils disaient. q.q.
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jours plus tard Getou assura aussi qu'il n'avait plus de toiles. Dans le but de recevoir d'avance mes écus.
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Entre Getou et moi je n'aurais par honte d'être mal traité mais aux yeux de la caravane il me
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traitait mal محمد جميل auquel le chaykh سيد محمد m'avait recommandé se taisait absolument, ainsi
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je pris Getou à part et lui dis puisque tu veux mes écus : j'ai 20$ laisse m'en 2 pour mes frais
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et prend 18$ mais promets- moi de n'en rien dire à personne et de me rendre complétement franc de
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tout droit. محمد جميل se facha alors avec Getou je fis la paix et donnai 6$ ce qui n'empȇcha pas
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que deux jours plus tard Ras ouméo ne vint me demander un $ que je donnai en conséquence à
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haute voix devant le monde et en disant : wak'ayo djⱥrǎ (il y a Dieu.) mots que le Ras prit pour lui.
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A ces mots les chrétiens se mirent à rire et les musulmans à mordre leurs lèvres. محمد امان que sa grosse
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[voix?], ses cheveux blancs et sa longue expérience de marchand d'önarya à Sannar fesaient craindre
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des autres, imposa silence à tout le monde et s'adressant à Getou: il s'est bien conduit et il a bien
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parlé, dit-il: toi tu ne nous disais rien de tout cela ce matin : tu es un coupable et en traitre—
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Getou atteré se leva et me demanda pardon chose enorme pour un marchand Abyssin. Je
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refusai de pardonner d'abord mais comme محمد امان intercédait avec les autres je consentis en
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disant expressément que notre convention précédente était rompue ; Getou me baisa la main en
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signe de reconciliation ce que je refusai de lui rendre ce que les Gallas présens expliquèrent en disant
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qui j'étais sacrificateur ou prȇtre. Je n'en vais dit Getou très vexé — non non, tu dois rester car il te
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reste à présenter tes observations — il n'a dit que la verite reprit Getou ainsi je m'en vais — Voici
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محمد امان un bien grand scandale : ce Getou a fait faire en cadeau de cinq toiles noires et d'un d'un $
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<s>separement</s> à asⱥndabo puis il prend de gros biens à l'un des membres de la caravane et le fait
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en outre contribuer en masse. Il a trompé l'étranger et il nous a trompés aussi — C'est lui qui
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a rompu notre convention en appelant un jugement d'arbitres au lⱥga Amara au lieu de me donner
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4$ sans rien dire — oui mais tu l'avais rompu auparavant en me fesant menacer par Ras ouméo pour un
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$. D'ailleurs à Kötto tu devais me parler en secret tandis qu'un autre est venu me dire que tu demandais 4$
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et que je ferais bien de n'en donner que 2. du reste dis-je je ne vous ai pas dit mon [1e.] chemin. notre secret
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avec Getou rompu par sa faute Je demande à montrer mes effets pour être taxé comme un autre
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marchand. donnez moi trois arbitres pour les examiner.["?] c'est une violation de tous les usages d'[ordin?]
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[en?] outre en route: D'ailleurs une fois le précédent établi chacun pouvait être appelé à montrer ce qu'il
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avait et moi tout le 1.er j'aurais eu ce droit de mettre le nez dans les paquets de Getou. محمد امان déclara 
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en conséquence qu'on n'ouvrirait rien mais qu'on déciderait sur ce qu'il y avait à faire et l'on
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decida en conférence à part que je donnerais 6$ ce que je fis sans mot dire. محمد جميل vint me dire
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ensuite dans le mⱥdⱥbbⱥr qu'il était mon ami mais qu'il n'avait osé se déclarer devant le monde, ce
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que je crois sans peine.
  
  
 
==== conduite d'un voyageur alors d ====
 
==== conduite d'un voyageur alors d ====
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ou a vu par ce qui est arrivé à [Burckhardt?] qu'on taxe un marchand étranger sans pitié il
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n'y a donc aucun profit à se faire marchand, quand on n'a pas parmi les marchands un ami sûr.
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un homme qui voyage pour observer fait mieux de se menager une position exceptionelle et la
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qualité de prȇtre est respectée même par les proseylites d'une religion qui l'est pas la notre. En me
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donnant le titre de k'alou ou k'allöŤa (sacrificateur) je pouvais me déclarer prȇtre dⱥbtara,
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professeur ou savant car le terme Ilmorma est ambigu. D'ailleurs en n'entrant pas dans les
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affaires de la caravane et me taisant devant leur jugement j'ai toujours la ressource d'un appel
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là oú je trouverai un juge assez juste pour m'aprécier et assez fort pour me defendre.
  
  
 
==== maledictions e ====
 
==== maledictions e ====
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cette affaire finie Getou partit pour Djömma Kaka avec environ les 2/3 de la caravane presque
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tous marchands Gallas. on m'ennuyait toujours beaucoup et je pris le parti de maudire à haute voix
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tous ceux qui levaient le cuir de mon toit pour me voir. Ceci reussit mieux que je ne l'avais cru car si on
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me rencontrait dehors on me prodiguait les complimens : on m'appelait [illisible] Dieu. nous fumes retenus
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3 jours par des négociations avec le chef voisin qui est en guerre avec hindi et c'est le 10 seulement que nous
 +
nous mimes en route vers midi car la matinée fut employée en allées et venues.
  
  
 
==== depart de hindi f ====
 
==== depart de hindi f ====
  
J'oubliau de mentionner n. 396 6 que da plaine daga d'angar était de terreau noix
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En partant du göbe nous avions [tenu ?] le m.t KounŤi sur notre droite mais en nous approchant
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+
toujours de cette colline. en partant de hindi nous avions pour but de franchir le col en laissant le KounŤi
et remplie de fentes profondes. j En troduisis dans l'une d'elles un baguette de 1/2 mètre à
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à gauche et nous commencames à monter non en suivant l'une des deux vallées ruisseaux mais en cheminant
atteindre le font. la largeur était de 8 à 10 centiné. à la surface. on m'assur a adoir fouillé
 
à plus d'unemètre pour retirer un obset précieux tombe dans une de ces fenles. Elles genent
 
la caraterie mair moins que je ne l'aurais cra.
 
Au passage du Gobe le ves encore un grand nombre de Gallas mis et présbien me convainire que la circonision
 
n'est pas pratiquée pareux plusieurs avaient ramsène le pressuce an delà du glan pour l'attacher à leur
 
gourd'a presque tous avaient chair de poule, après deux. trajets et leurs testieules étaient remontes au haut
 
des anneaux lusuinaux chosé qui & sobdotait pas chez les Amaras que je vis passer nis.
 
Le lieu où nous entrames appartietnt à hofe mais les gens de Leka l'ont occupé. on le nomme hindi et
 
non lofe comme je l'ai dit en tête de cette page. Abba Bagebo qui aime à avoir affoire à des Rois donna pertide
 
une de ses filles au plus gros Galla de Leka qui en conséquence commenca à ordonner tuer etc comme
 
Abba Bagibo mais la plupart de ses sujets se tevolta ainsi que son frère dilbo ayanjo qui reste à hinde
 
est le gofta des marchands et se fait si gros qu'il ne sort jarais de chez lui à pred, et ne vent pi
 
une seule fois au madabbar. sa töge avaitt plus de noir que j n'en levais encore ve et la toite
 
origiale ni se reconnaissait plus que par a lésières blanches qui serpentaient de haut en bas
 
Le 8 uillet Getou et la plusait des siens devant partir pour le kwalla afin de se rendre en
 
Djömma, les marchands s'assemblèrent et poussés par le frère de Getou et seutout par hasen habib
 
ils resolurent d'ouvrir mes effets. La surveille ils n'avaient deja envoyé promener quand ic
 
voulas être présent à la répartition du fasas du Gobe pour lequel on m'avait talé grbitr.
 
à 3$. Auj. les principaux en cercle sur l'herbe humide m'appelèrent pour me dire d'un tondantont
 
de domier 3$ ou de montrer ce que j'avais dans mes outres. un pauvre chrétien de Gondar qu'on ne
 
ge
 
soupconnait pas mais qui causait avec moi le soir au seu à mes gens me prevint de la chose et en
 
couséquence j'otai de nues sacs 49 $. j'y laissai toutdlargent qui me restait c.a.d. 12$.
 
donnai les 49$ à mon domestique de S et lui dès qu si on le découvrait il pourrait déclaser
 
aevec virité que cet argent lui appartenait. A pès avoirintendu l'ordre de la caravane dit
 
xex par les Abyssins je demandai à  S. 3E si cette siligulière décision était la sienne au
 
non car disje je n'ai d'ami ici que vous)e ?.I qui tenait aux cadeaux que je lui avais
 
promis mais qui est un peureux au morat fit un assez long discours ou il s'embrouillà
 
beaucoux sans rien dire et finit par déclarer que pour certaines affaires de la caravane
 
il n'y a pas de nagad Ras puisque celui-ci n'a que son vote et est entrainé par celui desantres. mainten
 
reprès-je que je suis deserte par le seul ami auquel je croyais pouvoir me fier, il me reste trois chemins l'un
 
de vous montrer mes effits et d'exiger d'etre laxé au prorata comme le reste de la caravane si tants
 
est qu'il vous reste un brin des justice. l'autre est de prendre mes effets et de m'en aller tout seux. vous
 
n'avez jamais du de blanc dans ce pays ix ne saves pas comment les Galla me recèvront si à suis seul
 
moit au contraire jai appris par mes livres bus des choses que vous ne savez pas. En Goudrou deux de
 
principaux une dirent de m'en aller tout seul et oc m'ndresser à tel et à tel en route au lieu de
 
m'enfernier contre ua dignité dans un misérable madabbar avec des marchans. Jefirais donc
 
mieux de m'en aller mais je veux aussaravant vous die comment m'a traite votre nagad las Getou. A
 
kobbo lui 19 S It m'appelivent et ce dernier ayant déclaré qu'il n'avait pourmoi ni tocles noires
 
ni autre chakat de prit Getou dit qu'il ne préterait dix de ces toiles pour être repayé dans öras
 
onnai du bonnet à tout ce qu'ils dyaient. q.9.
 
comme j9ne connais pas les affaires des march'ands
 
jours plus tard esctole assura aussi qu'il n'avait alus de toiles. Dans le but de recevoir d'avance mes jeus.
 
entre Getou et moi je n'aurais par honte fêtre mal traie muais aux yeux de la caravane il nie
 
traitait mal ) à S8 auquel le chaykh 3 ☾ qoi m'avait recommeendé se taisait absolument, ainsji
 
je pris Getou à part et lui dis puisque tu veux mes écns : j'ai 20$ laisse. m'en 2 pour mes grais
 
et prind 18$ mais promets- moi de n'ou rieu dire à personne et de me rend re complétement franc de
 
tout droit. Jer. I8 se facha alors avec Getou je fes la paix et donnai 6$ ce qui n'empicha ras
 
que deux jours plus tard Ras ouméo ne vint me demander un $ que je donnai ete conséquence à
 
houite voix devant le monde et en disant : wak'ayo djara( il y a Dieu.) mots que le Ras prit pour lui.
 
ces mots les chrétiens se mèrent à rire et les musulmans à moron leurs livress;) 2 3E que sa grossé
 
Adoix, des cheveux 6lgnis et sa longrée expérience de marchaud dénarya à sannar fes aient crand.
 
des autres imposa silence à tout le monde et s'adressant à Gatou : il s'est biens conduit et il 86 en
 
parle di-il ! toi ta ne nous disais rien de tout cela ammatin : tu es un coupable et en traitre—
 
Getou attire se leva et me demanda pardon chose enorme pour un marchand Abyssin. J
 
re fusai de pardonner d'abörd mais commé ; Il intercedoit avec les autres je consentes en
 
odant expressément. que notre convention précédente était fompue. Getou me baise la main en
 
signe de reconciligtion ce que je refusai de lui rendre ce que les Gallas présens expliguèrent en disant
 
qui j'etais sacrikicateur ou mette. Je n'en vais dit Getou très vexé — non non la das rester car il le
 
veste à présenter tes observations— il n'a dit que la vonte repit Getou ainsi i m'en vais — doici
 
deh3 l9) 3$ un bien grand scandale : ce Gotou a fait faire en cadean de ciuigtoile noires et d'un β
 
separement à asandabo puis il prend de gros biens à l'en des membres de la caravane et le fait
 
en outtre contribuer en masse. Il y trompé l'étranger et il nous a trompes aussi— C'est fui qui
 
a rommé notre convention en appelant un jugement d'arditres un laga Amara au lieu de me doillre
 
4 8 sans rien dire — oui mais tufavais rompe auparadant en me feant menacer par Ras ouméo pour un
 
L d'ailleurs à kötto tu devai me partir en decret tandes qu'un autre est veau me dire que tu demandais 4$
 
ce que je feraès bien de n'en donner que 2. du reste de ♄ juni vous ai pas dit mon de' chemin. notre sures
 
avec Getouromnu par safante je demande à montrer mes effits pour être tarse comme un autre
 
mar chand domtez inoi trois arbitres pour les examiner.t c'est une violation de tous les usages d'ouide
 
un outre en route. d'ailleurs une fois le précident établi chacun pouvait être appelé à montrer ce qu'i
 
avait et moi tout le 1.er j'aurais en ce droit de mettre le vez dans les paquets de Gelou 6r.3œ déclar 
 
ces conséquence qu'on ne ouvrerait rien mais qu'on décidérait sur ce qu'il y avait à faire et l'on
 
decwa en conférence à part que + dennerais 6$ à que le fs sens eust dire. de S. 7a vent me dèr.
 
ensute dans le madabbar m'il était mon ami mais qu'il n'avait ose se déclarer devant le monde à
 
que je coois sans pemne.
 
ou a vu par ce qui est arrivé à Burckhardt qu'on taxe un marchand étranger sans pêtie il conduite
 
n'y a donc ancun profit à se faire marchand, quand on n'a pas parmi les marchands un ame scir. d'un
 
un homme qui voyage pour obaerver fait meuxx de se menager une postion exceptionelle et la voyagent
 
qualité de pretre est respectu même par les proseylité d'une religion qui l'est pas la zotre. En me alor
 
donnant le titre de k'alou ou k'allöta (sa crif: caleur) je pouvais me déclarer prètre dabtara
 
professeur ou savant car le terme 7imorma est amlbigu. D'ailleurs en n'entrant pas dans les
 
affains de la caravane il me taisant devant leur jugemnt j'a toujoins la répource d'un appel
 
là ou je trouverai un juge assez jura pour m'aprécier et assez fort pour une defendre.
 
cette affaire fime Getou partit pour djomma kaka avec environ les 2/2 de la car avane presque
 
tous marchands Gallas. on m'ennuyait toresours beaucoup et je près le parti de mandire à haute voix malidic.
 
tous ceux qui levaient le cuir de mon toit nour me voir. Ces reufit mieux que je au l'avais eru car son -tions
 
me remontrait dehorsons me prodiguait les complimens : on m'appelait avem Dieu nou fumes retimes
 
3 jours par des négodiations avec le chef voisin qui est en guerre avcc hendi et c'est le 10 seulement que nous
 
nous mêmes en route vers nuide car la matinée fut employée en allies et venues.
 
depart
 
En partant du gobe nous aveons unue le mt kounte sur notre droite mais en nous approchant
 
toujours de cette colliné. an partant de hindi nous avions pour but de franchir le cot en lainant le Koune hande
 
à gauche et nous commencames à monter non en suivant l'une des deux vallées ruisseaux mais a chemisait
 

Version actuelle datée du 23 février 2022 à 20:13

Journal - Lofe 6 juillet[modifier]

14

396β

J'oubliai de mentionner p. 396β que la plaine daga d'angⱥr était de terreau noir et remplie de fentes profondes. j'introduisis dans l'une d'elles une baguette de 1/2 mètre sans atteindre le fond. la largeur était de 8 à 10 centim. à la surface. on m'assura avoir fouillé à plus d'un mètre pour retirer un objet précieux tombé dans une de ces fentes. Elles gènent la cavalerie mais moins que je ne l'aurais cru.


circoncision b[modifier]

Au passage du Göbe je vis encore un grand nombre de Gallas nus et pus bien me convaincre que la circoncision n'est pas pratiquée par eux. plusieurs avaient ramené le prepuce au delà du gland pour l'attacher à leur gourda. presque tous avaient chair de poule, après deux trajets et leurs testicules étaient remontes au haut des anneaux luguinaux chose que je n'observais pas chez les Amaras que je vis passer nus.


perfide conduite des marchands c[modifier]

Le lieu où nous entrames appartient à Lofe mais les gens de Leka l'ont occupé. on le nomme hindi et non lofe comme je l'ai dit en tête de cette page. Abba Bagibo qui aime à avoir affaire à des Rois donna une de ses filles au plus gros Galla de Leka qui en conséquence commenca à ordonner tuer etc comme Abba Bagibo mais la plupart de ses sujets se revolta ainsi que son frère Dilbo ayanso qui reste à hindi est le gofta des marchands et se fait si gros qu'il ne sort jamais de chez lui à pied, et ne vint pas une seule fois au mⱥdⱥbbⱥr. sa toge avait plus de noir que je n'en avais encore vu et la toile originale ne se reconnaissait plus que par a lisières blanches qui serpentaient de haut en bas.

Le 8 juillet Getou et la plupart des siens devant partir pour le k'walla afin de se rendre en Djömma, les marchands s'assemblèrent et poussés par le frère de Getou et surtout par hasen habib ils résolurent d'ouvrir mes effets. La surveille ils m'avaient déja envoyé promener quand je voulus être présent à la répartition du fⱥsⱥs du Göbe pour lequel on m'avait taxé arbitr.t à 3$. Auj. les principaux en cercle sur l'herbe humide m'appelèrent pour me dire d'un ton d'autorité de donner 8$ ou de montrer ce que j'avais dans mes outres. un pauvre chrétien de Gondⱥr qu'on ne soupçonnait pas mais qui causait avec moi le soir au feu de mes gens me prevint de la chose et en conséquence j'otai de mes sacs 49 $. j'y laissai tout l'argent qui me restait c.a.d. 12$. Je donnai les 49$ à mon domestique محمد علي et lui dis que si on le découvrait il pourrait déclarer avec verité que cet argent lui appartenait. Après avoir entendu l'ordre de la caravane dit جمع par les Abyssins je demandai à محمد جميل si cette singulière décision était la sienne ou non car dis-je je n'ai d'ami ici que vous. محمد جميل qui tenait aux cadeaux que je lui avais promis mais qui est un peureux au moral fit un assez long discours ou il s'embrouilla beaucoup sans rien dire et finit par déclarer que pour certaines affaires de la caravane il n'y a pas de nⱥgad ras puisque celui-ci n'a que son vote et est entrainé par celui des autres. mainten.t repris-je que je suis deserte par le seul ami auquel je croyais pouvoir me fier, il me reste trois chemins, l'un de vous montrer mes effets et d'exiger d'etre taxé au prorata comme le reste de la caravane si tant est qu'il vous reste un brin des justice. l'autre est de prendre mes effets et de m'en aller tout seul. vous n'avez jamais vu de blanc dans ce pays et ne savez pas comment les Galla me recevront si je suis seul: moi au contraire j'ai appris par mes livres bien des choses que vous ne savez pas. En Goudrou deux des principaux me dirent de m'en aller tout seul et de m'adresser à tel et à tel en route au lieu de m'enfermer contre ma dignité dans un misérable mⱥdⱥbbⱥr avec des marchands. Je ferais donc mieux de m'en aller mais je veux auparavant vous dire comment m'a traite votre nⱥgad ras Getou. A Kobbo lui et محمد جميل m'appelèrent et ce dernier ayant déclaré qu'il n'avait pour moi ni toiles noires ni autre chⱥkⱥt de prȇt, Getou dit qu'il ¨me prȇterait dix de ces toiles pour être repayé dans önarya comme je ne connais pas les affaires des marchands j'opinai du bonnet à tout ce qu'ils disaient. q.q. jours plus tard Getou assura aussi qu'il n'avait plus de toiles. Dans le but de recevoir d'avance mes écus. Entre Getou et moi je n'aurais par honte d'être mal traité mais aux yeux de la caravane il me traitait mal محمد جميل auquel le chaykh سيد محمد m'avait recommandé se taisait absolument, ainsi je pris Getou à part et lui dis puisque tu veux mes écus : j'ai 20$ laisse m'en 2 pour mes frais et prend 18$ mais promets- moi de n'en rien dire à personne et de me rendre complétement franc de tout droit. محمد جميل se facha alors avec Getou je fis la paix et donnai 6$ ce qui n'empȇcha pas que deux jours plus tard Ras ouméo ne vint me demander un $ que je donnai en conséquence à haute voix devant le monde et en disant : wak'ayo djⱥrǎ (il y a Dieu.) mots que le Ras prit pour lui. A ces mots les chrétiens se mirent à rire et les musulmans à mordre leurs lèvres. محمد امان que sa grosse [voix?], ses cheveux blancs et sa longue expérience de marchand d'önarya à Sannar fesaient craindre des autres, imposa silence à tout le monde et s'adressant à Getou: il s'est bien conduit et il a bien parlé, dit-il: toi tu ne nous disais rien de tout cela ce matin : tu es un coupable et en traitre— Getou atteré se leva et me demanda pardon chose enorme pour un marchand Abyssin. Je refusai de pardonner d'abord mais comme محمد امان intercédait avec les autres je consentis en disant expressément que notre convention précédente était rompue ; Getou me baisa la main en signe de reconciliation ce que je refusai de lui rendre ce que les Gallas présens expliquèrent en disant qui j'étais sacrificateur ou prȇtre. Je n'en vais dit Getou très vexé — non non, tu dois rester car il te reste à présenter tes observations — il n'a dit que la verite reprit Getou ainsi je m'en vais — Voici محمد امان un bien grand scandale : ce Getou a fait faire en cadeau de cinq toiles noires et d'un d'un $

separement à asⱥndabo puis il prend de gros biens à l'un des membres de la caravane et le fait

en outre contribuer en masse. Il a trompé l'étranger et il nous a trompés aussi — C'est lui qui a rompu notre convention en appelant un jugement d'arbitres au lⱥga Amara au lieu de me donner 4$ sans rien dire — oui mais tu l'avais rompu auparavant en me fesant menacer par Ras ouméo pour un $. D'ailleurs à Kötto tu devais me parler en secret tandis qu'un autre est venu me dire que tu demandais 4$ et que je ferais bien de n'en donner que 2. du reste dis-je je ne vous ai pas dit mon [1e.] chemin. notre secret avec Getou rompu par sa faute Je demande à montrer mes effets pour être taxé comme un autre marchand. donnez moi trois arbitres pour les examiner.["?] c'est une violation de tous les usages d'[ordin?] [en?] outre en route: D'ailleurs une fois le précédent établi chacun pouvait être appelé à montrer ce qu'il avait et moi tout le 1.er j'aurais eu ce droit de mettre le nez dans les paquets de Getou. محمد امان déclara en conséquence qu'on n'ouvrirait rien mais qu'on déciderait sur ce qu'il y avait à faire et l'on decida en conférence à part que je donnerais 6$ ce que je fis sans mot dire. محمد جميل vint me dire ensuite dans le mⱥdⱥbbⱥr qu'il était mon ami mais qu'il n'avait osé se déclarer devant le monde, ce que je crois sans peine.


conduite d'un voyageur alors d[modifier]

ou a vu par ce qui est arrivé à [Burckhardt?] qu'on taxe un marchand étranger sans pitié il n'y a donc aucun profit à se faire marchand, quand on n'a pas parmi les marchands un ami sûr. un homme qui voyage pour observer fait mieux de se menager une position exceptionelle et la qualité de prȇtre est respectée même par les proseylites d'une religion qui l'est pas la notre. En me donnant le titre de k'alou ou k'allöŤa (sacrificateur) je pouvais me déclarer prȇtre dⱥbtara, professeur ou savant car le terme Ilmorma est ambigu. D'ailleurs en n'entrant pas dans les affaires de la caravane et me taisant devant leur jugement j'ai toujours la ressource d'un appel là oú je trouverai un juge assez juste pour m'aprécier et assez fort pour me defendre.


maledictions e[modifier]

cette affaire finie Getou partit pour Djömma Kaka avec environ les 2/3 de la caravane presque tous marchands Gallas. on m'ennuyait toujours beaucoup et je pris le parti de maudire à haute voix tous ceux qui levaient le cuir de mon toit pour me voir. Ceci reussit mieux que je ne l'avais cru car si on me rencontrait dehors on me prodiguait les complimens : on m'appelait [illisible] Dieu. nous fumes retenus 3 jours par des négociations avec le chef voisin qui est en guerre avec hindi et c'est le 10 seulement que nous nous mimes en route vers midi car la matinée fut employée en allées et venues.


depart de hindi f[modifier]

En partant du göbe nous avions [tenu ?] le m.t KounŤi sur notre droite mais en nous approchant toujours de cette colline. en partant de hindi nous avions pour but de franchir le col en laissant le KounŤi à gauche et nous commencames à monter non en suivant l'une des deux vallées ruisseaux mais en cheminant