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− | Je prends des notes sur les perles, examine les poteries etc. | + | Nous partons par des chemins à peine tracés, en jeep, pour Iwol (Bandanba des cartes), village ancien "capitale" des Tandanké, où l'on note des sièges de pierre connus en Guinée (thèse R.M. 1961, p173 et fig.46) et des lithophones probables, également connus de Guinée (d°, p.172) |
− | vais au jardin en contrebas où l'on va chercher l'eau. Grotte crocodile. | + | Ils ne se servent plus de l'un ni de l'autre, mais à Barafouti, des gosses en jouaient. |
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Version actuelle datée du 25 juillet 2022 à 12:57
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M.14.2.62
Je parcours les environs du village, dans les collines de dolérite et cherche en vain une industrie : ces collines ne devaient pas être peuplées à l'époque préhistorique. Par contre le village est très intéressant, car on a l'impression de vivre des centaines d'années en arrière. Je prends des notes sur les perles, examine les poteries etc. vais au jardin en contrebas où l'on va chercher l'eau. Grotte crocodile. Nous partons par des chemins à peine tracés, en jeep, pour Iwol (Bandanba des cartes), village ancien "capitale" des Tandanké, où l'on note des sièges de pierre connus en Guinée (thèse R.M. 1961, p173 et fig.46) et des lithophones probables, également connus de Guinée (d°, p.172) Ils ne se servent plus de l'un ni de l'autre, mais à Barafouti, des gosses en jouaient. Descendu à Ibel à pied, par les dolérites et les schistes. Retour à Kedougou à 20h30.