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− | + | Départ à 7h en compagnie de M. Monod et Masson, pour l’ascension du Mt Aderg. Il y a d'abord 4 à 5km de dune vive à traverser, avec un peu de matières neolithique au creux des dunes (éclats, etc.), fulgurites, etc. Rien d’intéressant. | |
− | + | Nous abordons l'Aderg à son pied sud (altitude 280m) et en faisons l'escalade par l'est, seul côté où il paraisse accessible : une langue de sable l'escalade aux 3/4 et M. Monod grimpe par l’arête de la dune et moi par l'endroit où elle arrive au rocher. Les dernières dizaines de m. dans les rochers glissants et la recherche de failles pour franchir la dernière corniche sont assez difficiles (pour moi qui ne | |
− | + | suis pas alpiniste). On arrive au sommet et avons la surprise de noter 580m à l’altimètre de M. Monod. | |
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Version actuelle datée du 5 septembre 2022 à 13:59
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L. 29-XII-1958
Départ à 7h en compagnie de M. Monod et Masson, pour l’ascension du Mt Aderg. Il y a d'abord 4 à 5km de dune vive à traverser, avec un peu de matières neolithique au creux des dunes (éclats, etc.), fulgurites, etc. Rien d’intéressant.
Nous abordons l'Aderg à son pied sud (altitude 280m) et en faisons l'escalade par l'est, seul côté où il paraisse accessible : une langue de sable l'escalade aux 3/4 et M. Monod grimpe par l’arête de la dune et moi par l'endroit où elle arrive au rocher. Les dernières dizaines de m. dans les rochers glissants et la recherche de failles pour franchir la dernière corniche sont assez difficiles (pour moi qui ne suis pas alpiniste). On arrive au sommet et avons la surprise de noter 580m à l’altimètre de M. Monod.