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9h du soir.
 
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Il souffle un vent  [illisible] de N.O. Le port et la jetée sont complètement déserts. qq promeneurs, du moins quelques passants car je doute qu'on se promène à cette heure ci et par ce temps
 
Il souffle un vent  [illisible] de N.O. Le port et la jetée sont complètement déserts. qq promeneurs, du moins quelques passants car je doute qu'on se promène à cette heure ci et par ce temps
 
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Visibles de ma fenêtre, 2 cafés sont encore ouverts = La Brasserie de la Marine et le Bar du Port. A mon arrivée vers 7h un troupeau de motos étaient garées aux abords du Mistral.
Visibles de ma fenêtre, 2 cafés sont encore ouverts : La Brasserie de la Marine et le Bar du Port. A mon arrivée vers 7h un troupeau de motos étaient garées aux abords du Mistral.
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J'ai été accueillie comme quelqu'un qu'on attendait et tout de suite on m'a parlé des "bandits". "On n'est plus en sécurité nulle part maintenant!" et d'un attentat ou d'un échange de coups de couteaux à Six-Fours (coup de fil reçu par Nenette qui pense que c'est une blague). " Enfin - de dire !"
 
 
J'ai été accueillie comme quelqu'un qu'on attendait et tout de suite on m'a parlé des "bandits"- "On n'est plus en sécurité nulle part maintenant!" et d'un attentat ou d'un échange de coups de couteaux
 
Six-Fours (coups de fil reçu par Nenette qui pense que c'est une blague). " Enfin de dire !"
 
 
j'entends quelques voitures passer le long de la jetée.
 
j'entends quelques voitures passer le long de la jetée.
 
Et le vent, le vent, le vent qui fait tout craquer, quel boucan !
 
Et le vent, le vent, le vent qui fait tout craquer, quel boucan !

Version actuelle datée du 13 juillet 2022 à 10:41

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le 1.4.80


9h du soir. Il souffle un vent [illisible] de N.O. Le port et la jetée sont complètement déserts. qq promeneurs, du moins quelques passants car je doute qu'on se promène à cette heure ci et par ce temps Visibles de ma fenêtre, 2 cafés sont encore ouverts = La Brasserie de la Marine et le Bar du Port. A mon arrivée vers 7h un troupeau de motos étaient garées aux abords du Mistral. J'ai été accueillie comme quelqu'un qu'on attendait et tout de suite on m'a parlé des "bandits". "On n'est plus en sécurité nulle part maintenant!" et d'un attentat ou d'un échange de coups de couteaux à Six-Fours (coup de fil reçu par Nenette qui pense que c'est une blague). " Enfin - de dire !" j'entends quelques voitures passer le long de la jetée. Et le vent, le vent, le vent qui fait tout craquer, quel boucan !