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Page 76. après avoir analysé les caractères de l'épigraphie lapidaire depuis le Ve siècle jusqu'au XVe, M de Longuemar insiste sur son jugement au sujet de l'inscription de Gunterus en ces termes :
caractères de l'épigraphie lapidaire
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Cela pose, en considérant la forme carrée des [ c et l'ampleur horizontale des lettres de l'inscription nous croyons pouvoir maintenir notre premier dire à son sujet.
depuis le Ve siècle jusqu'au XVe,
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M de Longuemar insiste sur son
 
jugement au sujet de l'inscription
 
de Gunterus en ces termes :
 
Cela pose, en considérant la
 
forme carrée des [ c et l'ampleur
 
horizontale des lettres de l'inscription
 
nous croyons pouvoir maintenir notre
 
premier dire à son sujet.
 
 
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1° A l'assertion de M. de Longuemar
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1° A l'assertion de M. de Longuemar que la pierre sur laquelle est gravée notre inscription, et qui est entrée au Xe ou XIe siècle dans la construction de l'absidiole de St Hilaire, est un moellon du VIIIe siècle.
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Nous répondons que cette assertion est invraisemblable.
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Voilà un moellon qui a roulé ou qui a été suspendu à un mur en ruine pendant trois siècles, qui a traversé des temps de dévastation, qui est resté exposé
Xe ou XIe siècle dans la construction de l'absidiole
 
de St Hilaire, est un moellon du
 
VIIIe siècle.
 
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est invraisemblable.
 
Voilà un moellon qui a roulé
 
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dévastation, qui est resté exposé
 

Version actuelle datée du 2 octobre 2018 à 16:26

2. Pierre de l'inscription

Page 76. après avoir analysé les caractères de l'épigraphie lapidaire depuis le Ve siècle jusqu'au XVe, M de Longuemar insiste sur son jugement au sujet de l'inscription de Gunterus en ces termes : Cela pose, en considérant la forme carrée des [ c et l'ampleur horizontale des lettres de l'inscription nous croyons pouvoir maintenir notre premier dire à son sujet.

Réponse

1° A l'assertion de M. de Longuemar que la pierre sur laquelle est gravée notre inscription, et qui est entrée au Xe ou XIe siècle dans la construction de l'absidiole de St Hilaire, est un moellon du VIIIe siècle. Nous répondons que cette assertion est invraisemblable. Voilà un moellon qui a roulé ou qui a été suspendu à un mur en ruine pendant trois siècles, qui a traversé des temps de dévastation, qui est resté exposé