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Version du 26 novembre 2021 à 10:09
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Panama dîner-buffet Ambassadeur MMme Eliasef
7 sept. De l"'Hotel International" à pied vers la vieille ville D'abord cet aspect "bazar", avec quelques. édifices très modernes, de jolies filles un peu teintées. Puis les rues se rétrécissent : maisons à longs balcons, un peu solennelles, avec des plaques d'avocats (bilingues) sur les rues importantes (sur d'autres, balcons de bois plus simples, rez de chaussées occupés par des échoppes plus ou moins nègres). Quelques vieilles églises : La Merced ; Ruines de Sto. Domingo ; San José surtout, avec un magnifique retable XVIIe s. d'or. Des rues tombent sur la mer, ou plutôt sur de vastes étendues pierreuses et grises laissées par la marée basse. De petites places, qui ont du caractère.
Le soir la "Bibliothèque Nationale" très "famille", genre d'une petite ville d'Europe vieillotte, plutôt d'Espagne - n'était la chaleur et les ventilateurs - Les étroites rues bordées de maisons silencieuses, ou provinciales. Cette vieille ville a un certain style européen ou espagnol- andalou, très différent d'ailleurs de celui des quartiers nègres, comme des quartiers modernes qui, eux, évoqueraient un peu les États-Unis du sud (?) En effet il s'agit d'interminables avenues ou rues plantées d'arbres, de place ou pelouses sans grand caractère, bordées de villas ou grandes maisons blanches parfois très modernes. de drugs stores, markets à enseignes au néon le soir, garages... et aussi résidences vaguement andalouses (modernes) ou "coloniales" (peut être dans les parties un peu moins récentes). L'Hotel Panama, l'Université... le nouveau parlement sont en style ultra moderne (issu de Le Corbusier). [en marge croquis de bâtiments ultra-moderne] Tout cela encore très différent du style "bazar" antérieurment décrit et des rues de boites à musique pour marins.
Donc Panama est faite de la juxtaposition de quartiers essentiellement divers fondamentalement différents d'aspect et de caractère.
Cela n'empêche pas de jeunes philosophes, psychologue ou intellectuels d'écrire sur les "Panamémidad" dans la ligne (étrangement prolongée !) d'Ortega y Gasset. Deuleuze l' avait constaté. Qu'on en juge :