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météores ḥamḥamo 25 octobre 1844) Journal
3 [écriture verticale sur une colonne sur toute la partie gauche de la page] ♂ 22 oct.re dep. à 6.1 0.0 Digsa 1.1 may harasat
☿ 23 oct.re Dép.à 9.h6 0.0. may harasat 0.7 ansaka o droite [??] 0.5 törmo 0.7 col 2.6 tⱥkⱥnte halte 1.1 bouche du choumfeyto dans asouba 1.3 R de lalay tⱥbbo - 6.9 à 2 m. arr. à 7.8
[?] 0.0 lalay tⱥbo 1.0 tahhay tⱥbo 2.7 halte 0.9 dabⱥra' - 4.6 à 2 m.
♀ 25 oct.re à 9.4 0.0 dabⱥra' 1.2 halte p.r le mauvais augure (=0.2 ["(=0.2" en interligne supérieur] 0.6 hamhamo halte = 6.h8 1.4 quitté le lit du torrent 0.5 col 1.9 comm.t du défilé 0.35 pierre qu'on saute 0.7 halte = 0.8 2.2 a'dö habib - 9.0 à 2m. arr. à 2.h2
[?] 26 oct. 1.5 à Dokhono
jusqu'au 16 nov.re inclusiv.t les heures sont sur la carte ☉ 17 nov.re 0.0 Dögsa 0.4 hardoqdogi 0.5 hemal R faib 0.8 àdö ongofom 0.9 Descente 0.3 àdö mⱥa'rⱥba - 2.9 à 2 mil
☾ 18 nov.re départ à 9.h8 0.0 àdö mⱥa'rⱥba 1.1 col 0.3 afalba halte=0.8 angles 1.1 plaine commence entre Gourà et qayöhkor 0.6 à Doⱥy amharag halte=0.2 0.6 comm.t du plateau 1.2 col. àdö mⱥgⱥrti à 2 milles à droite 1.8 col et ravine 1.9 col après le torrent 0.4 zögöb à 8.h2 - 7.6 à 3 milles
♂ 19 nov.re dép. à 10.h6 0.0 zögöb, 0.9 montée 0.1 àdö hawöcha 0.6 descente 0.4 trⱥlot halte=2.h5 0.4 partage de bassins 0.4 asmara 0.6 1.0 àdö nöfas 0.8 bⱥlⱥza 1.0 faite et descente 0.4 Kwazen à 8.h3 - 7.2 à 2.8 milles
[?] 27 mars 1845. Dép. à 5.h8
0.0 Ŧoulcamp
0.2 Ŧoul (10.m [?] 0.08 [?] 3[?])
0.1 ruisseau fangeux (a.f gauche)
0.6 montée commence
0.5 faite après 0.4 de repos
1.3 St michel d'angⱥr à droite à 0.7 m ["m" en interligne supérieur]
1.6 agöŦa iⱥsons
0.5 campement arr. à 11.h0
-
4.8 à 2 milles au plus
♀ 28 mars. dép. à 6.5 0.0 camp 0.2 ruisseau stagnant 1.4 fente vaste à gauche 0.6 (église) aroge dⱥbr 0.3 camp arr. à 9.h0 - 2.5 à 1.8 mille (1800 paas en 0.h3)
[?] 29 mars. dep. à 9.8 0.0 camp 0.7 trⱥbala à 4.m à gauche 1.4 ruisseau 0.9 halte=0.4 0.2 faible ruisseau à gauche 0.5 bord du quⱥlla halte=0.2 0.4 camp arr. à 11.h3 - [illisible] à 1.8 mille 4.2 h [illisible]
marché de Dⱥbaröq a
L'habitude Abyssine de tout renvoyer au lendemain ou ce qui est la
même chose, de ne se presser jamais ne m'a nulle part tant frappé qu'à
Dⱥbarög. Le marché de ce lieu se tient le mercredi et est fort important car les
marchands d'Adwa y vont avec du sel et ceux de Gondar avec les vaches du
fögara qu'ils vendent ou plulôt qu'ils échangent contre des amole. Il s'["s" interligne supérieur]y vend
aussi souvent des mules et des chevaux parfois achetés dans Gondar à des
marchands du ware haumano. Le marché commence vers midi dans un lieu
élevé froid et sans arbres, maisons ni abri d'aucune espèce. Jusqu'à la nuit on
s'observe de part et d'autre on demande le prix sous rien conclure et on reste
ainsi en présence toute la nuit malgré la pluie qui tombe quelquefois et
surtout malgré le froid car j'ai vu le thermomètre à 14.G long tems après le
lever du soleil et la rosée était le même jour si froide qu'elle fesait gémir les
Eur Abyssins qui la traversaient nu-pieds. Cependant les marchands restent
bravement sur place toute la nuit quoique la surveille et le surlendemain
ils supportent dans le guⱥlla de Börra Wasaya des chaleurs de 35.G. Jeudi
matin environ on s'est rendu compte du nombre de vendeurs et
d'acheteurs on conclut les prix et l'on se separe peu avant midi pour se
mettre en route sur le champ soit vers Adwa soit vers Gondar. D.
Lamma a aboli cet usage par proclamation mais il a repris dès qu'il
s'est mis en route pour la razzia des Barça tant les vieilles habitudes
sont invéterées.
sur les jonctions du lac ŧana avec ses affluens et son deversoir b
c
d
e
Les speculations qu'on a faites sur le cours du eore comme efflcient ou deversoir du la ctad donnent quelque interit à la discription des afflnens du lac tana car on aime à pouvoir juger ou supposer par inalogie quand il est difficile de fuire virifier l'état des hoses par un observaleur intelligent. en novembre 1842 lorsque les pluies quoique hors de Saison étaient cependunt fséquente nous traversame le Röb et le Goumara quand aux bacs ordinaires qui mènent d'Yfag à Zwarata. Les courans, étaient alors tellement faibles que plusieurs personne non au fait de la situation des hauteurs prétendaient que ces revières trolées par un vent d'oust coulaent vers les montagnes. Plus tard en fevrier 1845 au fort d'une saison remarquablement sèche et qui pendant deux mois n'a pas présenté un seul jour de tonnerre ou d'éclairs chose rare en Hante Ehhiopie nous traversames encore ces rivières ayant de l'eau jusqu'à mi-corps. Le courant était cestainement mil car je le remarquai avec soin et les gens du pays à qui j eu fesais la remarque me dèrent : nous traversons les eaux du la set non pas celles de la rivière car plus haut le tit bien plus resserre n'a presque pas d'eau En effet les choses doivent se passer ainsi dans un éleimat très sec comme cellui-ci. Pendant les pluies les rivières extraordinairement grossies élaroissent beaucoup leurs embouchures pour pouvoir deverser leurs eaux là où le voisinaogse d'un grand la soppose à un rccroissement de penité. Ensuite à mesure que le votume d'eaux courantes diminue cellis du la c réfluent pour occuper un dit coute crausé par la ougue des torrens aujour d'hui demonuées. Dependant une autre partie du lal tana nous montre que près d'un lac du 'ofrique Equatoriale il ne faut pas conclure que toutes les jonctions larges et dormantes sont des rivières affluentes : cer bien que le gadla présente es mêmes phenmènes que le Röb et le Goumara le Abbay qui est un le seul deversoir du lac et large de 200 mètres à Bbatir dar et si étroit plus bas ou un guerrier à pu le franchir d'un seul bond avec sa lance et son boucher. En mars 1643 le Abbay avait près Bahr dar 200 mètres de large 3m de profondeur et un courant superficiel estenéé à 1/2 mille par heure. un peu plus bas devant Dangia Dabalo on traverse ce volume enorme d'eaux à gué. En f'et si l'on y rifléchit les berges hautes de 2 mètres à bahr dar indiquent un grand arcroissement d'eaux pendant les pluies et Eu même tems il est difficile qu'une rivière sortant d'un lac n'entraine une portion de ses eaux avec elle. mon bal darabba auprès du Ras qui m'a donné les 10$ en quittant önnawga se nomme tamarat taklou vers le 25 avril j'ai écrit à Amaule que c02 271. 74t.70 le l'td, ce 19 2 4239 610) 1 o$ 7 dwöod9 -1e 37 11 5 $ hötsanou, ι à 1 2ax 1 25 030 2 -8 l Aoprs 4à choumi met 6. 150 y°♂ 1 2 1.3S. michel d'angar à droite à0.7 Juin. de yawöch à l'arbre des angles près yadjöbe 1 25 heure à pied. 14 d'heure de 20 lawich au yèda.— 7nafo s juue. Toila près de onze mais que je n'ai pas écrit mon journal. onzé mois. que de beaux travaux on acheverait dans ce teuer.t Revenu de Kafa à Gondar ;y retrouvai mon frère et le plaisir de l'entrélenir, a lire les jourairx et lettres d'Eirope occupaient mes socrées et mes matinées. mes jaurnées étaient depensées en plère parte en disites forcées car la Reine manan ou l'exRoi vohanna m'appelaient sans resse. Ce dernier est l'un des Abyssins qui m'a le plus intéressé Je lui inscianai d'après son desir à lire en serailais et à faire une addition. Il voudrait visiter l'Europe et compend mieux que tous ses compatriotes l'immeuse progres. intellectuel de l'Europe. Mais nos entrétiens étaient continuellement interrommes ou par des plaiveurs ou par des sobliciteirs car le maré de manau tout déchée qu'il
ne laisse pas de conserver de l'importance. Il me dit un jour qu'affrayte de son
amour effrèpe pour les femmes il s'était retire au Waldöbba, le plus austire monastèse de l'Abysseni qu'il y participent aux prièrs. en commun (traloue 0.5' bord du gualla halte = 0.2 mahabar) et qu'en outre il repelait deux fois par jour les 550 prcaumes. de Havid et tout d'evanacle de St reau jusqu'à ce que ses dents et lèvres devinnent doutoureux à force de paroles car les Abyssins si figurent qu'on ne pent 'nkoa l8 uille 42ho3 apabiens prier vu e italomen te jida ouala ne on paris
0.0 dögsa m nay harasa. 1.1 ☿ 23 outredep à5h0 0.0 may harabat 0.7 amsaka odroite β) törmo col 26 takamte halte 1.1 bouche du choumfey. dans asouba 1.3$ de calay tabbi 6.9 à 2m. arr. à 7.8 3 3 0.0 lalay tabo 1.0 tahtay tabr 2.7 halta 0.9 dabara' 8.6 à 2 n- me na 9. 4 ☿ 25 0et 2 dep. λ 20 dabara 1.h quitte le tit du torrent 0.5 col 1.9 comm.t du déffilé 0.25 fin du défilé 0 35 pierre qu'on saute 0.7 halte : 0.6 22 a'döhabib 98 à 2m.arr. à 2h2 ♄7 28 0et. 1i5 à Dokhono ues qu'au T6novre inctusive. cres sont sur la carti les π 7 nor 0.0 Dögsa 7h 0.4 hardogdo 0. 5 hema & faib. ofom 0.8 a'dö on 0.9 descente. 0.3 adö maaraba 2.9 à 2 mil oo n ☾ 18 nov.r dess. à 9h8 0.0 a'dö maa'raba 1.1 oι 03 afalba halte := 0.8 angles ♄1 plaine commence entre Goura et guyöhkor 0.ba'dday amharay hitte à 2.0 0.6 comme.t du plateau 1.2 cot. adö wagarté à 2 milles à droite 18 col et ravens O.Gool après le torrent 04 zögöb à 8h2 7.6 à 3 mille pu ede orgnovtr des. à 10.β 0.0z ögöb1 0.8 montée 0.1 à 06 hawöcha 0.6 descente 0.4 tsalot halte - 2h5 1 1partage de bassins 0.4 asmara 0.6 1.0 adö göfas 0.8 balaza 1.ofaite et descentes 0.4 kwazen à 8h.3 7.2 a 2.8 milles.
♃ 22mars 1845 dup à 5h8 0.0 ŧoul camp 0.2 toul (10 ♄ 0.0883 0.1 ruisseau fangeux (G. sanch) C.6 montée commence 0.5 faite après 0.4 de repa 1.6 agöta idsous 0.5 lcampensent arr. à 11h0 4.8 à 2 milles au plus. ♀28 mass. au à 6. 0.0 camp 0.2 ruisseau étagnant 1.4 feute vaste à gauche 06 (èglise) aroge dabr 0.3 iaisp. arr. à 9h0 2.5 à 1.8 mille (180e pas en 6.3 ♄329 mars. dep. à 58 0.0 carr
0.7 tsalalo a G.t à gauche 14 ruisseau 0.5 halte = 0.4 02 faible ruuissoau à 9 auche 0.4 petite plaine 0.1 halte = 0.7 0.4 camp arr. à 11.3 285 4