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"d'objets, poterie ou autres, brûlés par l'incendie, dont il a été "retiré un style en cuivre couvert d'oxyde de fer, un petit ex-voto "en bronze, représentant une sorte d'animal sans queue "avec son cavalier, cristallisé par suite de l'oxydation" ; -"à "l'angle supérieur du tournant, à la hauteur du premier et du "deuxième pilier, une masse de débris de poteries communes, "qui n'était pas brûlées, devaient former le contenu d'un "dépotoir ancien ; là s'est trouvée une statuette de la déesse "Epona en terre blanche...., un débri de statuette de Vénus en même "terre" ; "à 4 mètres au dessous de ce point, le long du talus "en descendant la rue à main droite, une base de statuette de "Vénus de même fabrique" ; -11°-"non loin des pièces de monnaies calcinées, il en a été trouvé "d'autres soit absolument usées, comme un petit bronze d'Auguste "et Livie et un moyen bronze d'Antonin, soit en parfait été de "conservation, tels que deux petits bronzes de Tétricus et un de "Gallien" -12°-"dans le mortier qui assemblait les deux blocs dont était "formé le 4e pilier, un grand bronze de Mar. Aurel." (Monsieur Richard a soin de faire remarquer très judicieusement, que le pilier, dans les mortiers duquel se trouvait ce grand bronze, ne pouvait avoir été construit avant la fin du IIe siècle). -13°-les poteries, trouvées dans les terrains de la rue, qui furent conservées par l'inventeur "consistent, en deux vases de terre