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V.II.
124[modifier]
(p. 83) c'est Dedj. Ali Fares qui pilla Dabra tabor. cet homme est le fils de Ras Hⱥylou.
125[modifier]
(p. 88) un domestique maltraité est toujours libre de s'en aller et son maître ne peut le reclamer.
126[modifier]
un maître même chrétien peut frapper et tuer
même son esclave sans que personne y trouve à redire. il peut le donner en cadeau, mais s'il le vend il n'est plus chrétien. (ibid) un chrétien ne prend pas une maîtresse musulmane ni vice versà.
128[modifier]
Les chekhs musulmans qui ont voyagé ou fait le commerce des esclaves sont plus instruits que les prêtres chrétiens qui ne sont jamais sortis de chez eux.
128[modifier]
ማህደረ፡ ማርያም፡ mahdⱥrⱥ maryam (p. 95) les chevaux n'y entrent pas mais les mules y entrent. Si un cavalier entre, son cheval tombe et tous deux se cassent les os. telle est la superstition des Abyssins.
divorce 129[modifier]
(p. 109) mes Abyssins ont entendu parler d'hommes qui avaient divorcé successt. jusqu'à 4 et même 5 femmes. quand j'ai cité le cas de 7, d'après Bruce, ils ont ri beaucoup & ont dit : c'est un peu fort. quant aux femmes, elles peuvent prendre sucet. autant de maris qu'elles veulent et quand elles sont vieilles elles se font religieuses, communient & crèvent, disent mes Abyssins.
130[modifier]
Quant aux enfans des divorcés, l'ainé reste avec sa mere ; l'ainée avec son père. S'il y a un 3e enfant il mangera un mois chez son père, un mois chez sa mère, et ainsi de suite ou bien il reste avec le parent qu'il aime le mieux. jusqu'à 7 ans, tout enfant appartient à sa mère.
131[modifier]
Dans le Tigray il n'y a pas de droits de succession (p. 105)
132[modifier]
(P. 106) Si la fiancée est vierge elle donne à son mari deux fois autant que celui-ci lui donne. Si la fiancée n'est pas vierge, on donne des qualités égales de part et d'autre. cette règle s'observe dans le Chⱥwa et dans le Tigray. Dans l'Amhara ou donne les